dimanche 6 mars 2016

Sunday mood...

Hé toi !
Oui, toi qui pose tes yeux sur ce billet !
J'ai des questions à te poser :

  • est-ce qu'il n'y a que moi qui ai du mal à m'y mettre quand j'ai un boulot compliqué à faire ? 
  • est-ce qu'il n'y a que moi qui laisse trainer et qui me retrouve à demander des délais parce que je n'ai pas osé me lancer plus tôt ? 
  • ou alors je suis mal organisée ? 
  • et toi aussi il t'arrive d'avoir ce truc que personne n'a jamais et qui est tellement rare que ça n'aurait pas dû t'arriver ?
Bon, allez, c'est pas grave hein, un jour j'aurai confiance en moi, un jour je serai top organisée, un jour ma maison sera propre et rangée, un jour mon panier de linge ne débordera pas, un jour je pourrai bouquiner le dimanche après-midi, un jour je ne m'énerverai pas après ma minette pendant toute une journée, un jour j'irai au marché le dimanche matin et je cuisinerai, un jour je ferai des gâteaux, un jour je serai bienveillante envers moi-même, un jour...

ou pas !

Bon dimanche...
(moi je retourne bosser hein)
(et j'ai mis plein de photos sur l'autre blog : par ici)







vendredi 4 mars 2016

Des livres pour... apprendre l'anglais

Je rêve que ma minette parle des langues étrangères.
Ce n'est pas simple mais on dit toujours que si les enfants entendent ces langues tout petits, ils auront des chances d'être meilleurs quand ils seront grands.
Alors à la maison, on ne se prive pas de lire des livres en anglais, d'acheter des livres avec des chansons en anglais et je parle même un peu italien de temps en temps.
Je ne sais pas si ça marchera, mais qui ne tente rien...




Parmi les livres qu'on aime beaucoup à la maison, il y a les trois que vous voyez sur la photo ci-dessus (enfin, surtout ceux en anglais) et celui qui est en bas de l'article mais que j'avais oublié sur la photo.
Les voilà en détail.


  • Mille premiers mots en anglais / en japonais





Vous devez vous demander pourquoi on a un livre en japonais.
Ce n'est pas commun et c'est une langue assez difficile, mais c'est aussi une langue que mon homme a apprise quand il était étudiant.
Je lui ai donc offert un peu pour rire, un peu pour qu'il partage son savoir avec nous.
Ces livres étant conçus pour l'apprentissage, c'est parfait pour réviser (et si un jour on part à Kyoto, on aura une bonne base ^-^).




Pour le Japonais, les mots sont écrits en caractères romains pour qu'on puisse connaitre la prononciation.
Pour le reste, ces deux livres sont conçus de la même façon.
Il y a des double-pages et des pages thématiques avec beaucoup d'illustrations pour trouver la signification du mot.
Mais surtout, dans le volume en anglais, il y a des autocollants !!
Et ça, nous, on adore.




Tous les mots sont illustrés.
Il faut les retrouver dans les autocollants pour les remettre à leur place.
Il y a aussi la grande illustration centrale où l'enfant peut trouver les différents objets en contexte.




Il y a de nombreux thèmes très variés, avec du vocabulaire vraiment très diversifié.
Cela permettra aux enfants qui apprennent l'anglais de réviser leurs leçons, d'apprendre de façon ludique du vocabulaire inconnu et de s'amuser avec les autocollants.
Je ne sais pas si vous avez connu le Mot & l'Idée qu'on devait apprendre par coeur au collège, mais moi j'en suis restée un peu traumatisée alors je l'avoue, j'adore et je révise beaucoup :)





  • Ecoute et apprends : Premiers mots d'anglais





Celui-ci est un livre sonore plutôt original.
Il fonctionne avec un système de fiche thématique et de puce.
On choisit un thème sur l'une des 4 fiches recto-verso de l'album, on la glisse dans la partie à droite et on appuie sur le bouton qui dit au livre quelle fiche on a choisit.




Ensuite, il n'y a plus qu'à appuyer sur les dessins et le livre prononce le mot correspondant en anglais.
Au début, les puces étaient un peu difficiles mais à l'usage, ça marche parfaitement.
Il faut aider un peu l'enfant à glisser la fiche dans la pochette.
A 23 mois, ce n'est pas simple.
A part ça, c'est top, et ma minette est autonome.




On trouve les thèmes suivants : le corps humain, les vêtements, les véhicules, le coucher, la ferme, l'alimentation, la maison et les animaux.
C'est très diversifié et plutôt varié.
Je ne suis pas sure que ma minette ait bien compris qu'il s'agissait d'une autre langue, mais ça l'amuse beaucoup d'écouter le mot en anglais et de me demander le mot en français ensuite.




  • Mes premières comptines en anglais





Et on finit avec ce livre que ma crêpe Suzette adore absolument.
Elle l'écoute presque tous les jours, c'est une vraie passion.
Les comptines sont parmi les plus connues : The wheels on the bus, One two buckle my shoe, The alphabet song, Itsy Bitsy Spider, Head and Shoulders, Twinkle little star.




Le son est plutôt bon, et j'aime que les chansons soient chantés par des adultes.
Ma fille ne les chante pas trop, l'anglais doit lui faire peur, mais ça ne l'empêche pas de les écouter.
J'ai découvert les livres sonores Gründ avec ce titre et j'en ai racheté depuis parce qu'ils me paraissent de bonne qualité et surtout parce qu'ils plaisent à chaque fois.
L'illustrateur semble être identique à chaque fois également et ma minette a repéré que c'était les mêmes dessins (j'ai halluciné !).




Voilà de quoi apprendre de nouveaux mots, 
réviser votre anglais, partager ces petits bouts de savoir avec vos petits. 

Alors, ça vous tente ? 






Merci Usborne 
pour ces livres intelligents.







mercredi 2 mars 2016

Vernon Subutex de Virginie Despentes { Prix Audiolib }

Bon, disons-le tout de suite, ce livre partait bien, j’étais super enthousiaste, et puis je vous l’avoue, ça s’est méchamment gâté.

Il y a longtemps, Vernon était disquaire.
Mais ça, c’était avant, dans sa jeunesse.
Depuis, il vivote de petits boulots et ne voit plus beaucoup ses potes de jeunesse avec qui il faisait de la musique et beaucoup la fête.
Et puis soudain, c’est l’hécatombe.
Ses potes tombent les uns après les autres jusqu’à Alex, star de la chanson qu’on vient de retrouver dans la baignoire de sa chambre d’hôtel.
Pas de bol, Alex payait le loyer de Vernon depuis deux ans !
Du coup, Vernon est expulsé et doit zoner de canapé en canapé pour ne pas finir dans la rue….

J’ai choisi ce livre sur la pile de livres audios que je dois écouter pour le prix Audiolib alors que j’avais deux heures de voiture à faire.
Je l’ai pris sans conviction, en me disant que ce serait mieux de lire les livres qui ne me font pas envie en premier.
Et puis, contre toute attente, la magie a opéré (mais seulement pendant la première moitié du roman) !

En fait, je m’attendais à du beaucoup plus trash, du sexe outrancier, un manque de finesse, bref tout ce que je n’aime pas.
Je n’ai jamais lu Virginie Despentes, mais j’en ai entendu parler et ses précédents romans avaient tout ce qu’il faut pour me repousser.
Du coup, je pensais que celui-ci était du même acabit.


Les billets des blogueurs enthousiastes croisés depuis la sortie de Vernon Subutex m’incitaient néanmoins à revoir ma copie et je m’étais dit que ce serait pas mal pour découvrir.
Et effectivement, les premiers chapitres du roman m’ont vraiment plu.
Le texte est soigné, il y a un peu de sexe mais pas trop, et on sent la maitrise de la romancière.
Et puis ça se gâte.

Vernon est un type un peu paumé, plus tout jeune, célibataire endurci, qui galère un peu.
Virginie Despentes brosse un portrait sans concession qui fonctionne parfaitement bien.
On a l’impression de connaître Vernon comme un vieux copain et on est impatient de savoir ce qui va lui arriver, et comment il va s’en sortir.
Et puis d’un coup, les chapitres ne parlent plus de Vernon mais de ses potes, de ses relations, des gens qui le croisent même de loin (de très loin parfois) et ça dérive, ça dérive.
Quand on me raconte la vie de son super pote qui a un grand rapport avec Vernon, ok, mais quand on me raconte la vie d’une actrice porno qui vit avec sa meilleure amie devenue SON meilleur ami, puis la vie de cet ami, puis celle de ce trader camé qui possède l’appart où loge Vernon, puis celle d’une pseudo journaliste, puis celle de ce trans dont Vernon tombe amoureux, puis celle de Sylvie, celle de Julien, celle de Laurent, celle de je ne sais plus qui… ça m’énerve !!!
J’ai eu l’impression de perdre l’histoire en route, et finalement, le sujet du roman m’a paru bien léger.
L’auteure s’amuse à décliner les portraits plus ou moins excessifs de ces personnages hauts en couleur, sans doute des figures d’un certain milieu parisien, mais cela m’a lassé.
Je voulais lire l’histoire de Vernon et celle-ci se diluait dans celle des autres qui ne m’intéressait pas.

Alors évidemment, comme il y a trois tomes de prévus, c’est normal qu’on nous plante le décor, mais sincèrement, je ne vois pas comment je vais pouvoir me souvenir de tous ces personnages pour le tome 2 !
J’ai du mal à voir également comment elle va réussir à recaser tout le monde, mais ça, encore, c’est possible.
Est-ce que je lirai la suite ? Bonne question !
Si le livre audio me tombe dessus, peut-être bien, par curiosité, mais ce n’est pas sûr (mais peut-être quand même !).

Parce qu’il faut bien le dire, le format audio m’a sauvé la mise pour ce roman.
En version papier, j’aurais sauté des pages pour arriver à la fin, ou je l’aurais carrément abandonné.
Là, en audio, je l’écoutais dans ma voiture, parfois d’une oreille distraite quand les derniers chapitres me paraissaient vraiment inutiles et je suis arrivée au bout, mais un peu dans la douleur.
Je conseille donc sans hésiter cette version avec la voix de Jacques Frantz qui est parfaite !
Le texte coule avec sa voix grave qui peut aussi être modulée quand il change de personnage et c’est un vrai bonheur à écouter.


Bon, allez, je clos là ce billet à rallonge, et vu tous les avis enthousiastes présents sur d’autres blogs, je ne peux que vous conseiller de vous faire votre propre avis J



D'autres avis chez Enna, Sandrine, Sylire










lundi 29 février 2016

Moi après mois : février 2016


Le calme trompeur de février

Le ciel tout gris, encore et encore / la  gorge douloureuse mais ça va aller, j'ai prévu des exercices / Les étudiants qui ne se souviennent pas du cours fait il y a deux mois, tant pis pour les exercices / Le métro trop plein, la place faite de force en poussant sans vergogne, la surprise en découvrant une dame de 70 ans qui ne doit pas être si pressée mais est apparemment impatiente / Les étudiants trop intéressés qui me gardent avec eux, la course dans Paris pour changer de lieu entre deux cours, le sandwich avalé en vitesse / La voix qui déraille, la douleur trop vive, le cours à finir / Le train absent, les larmes qui montent aux yeux, la fatigue trop grande pour être honnête / Un arrêt de travail... Le premier de ma vie ! / Dormir, dormir, encore dormir / Avoir des trucs à faire mais dormir encore et encore / ça fait du bien de dormir parfois / Envoyer bébé à la piscine avec son papa pour lui faire plaisir / s'ennuyer un peu en attendant que mon bébé rentre avec son papa de la piscine / Recevoir un joli paquet de la part de Charlotte (que mon voisin avait gardé...) Merci Charlotte, plein de bises / Avoir l'impression d'être un escroc pour l'administration, pour mes étudiants, de voler du temps à ne rien faire chez moi alors que je pourrais aller travailler / mais quand même, certains jours, sentir qu'il n'y a pas d'abus / Essayer de penser à ma joie quand un prof était absent quand j'étais étudiante pour me sentir moins coupable / Mais comment font ces gens toujours absents ? (ceux qui ne sont pas vraiment malades, hein) / Lire un peu, mais pas trop (pas assez à mon goût) / Trainer dans un livre audio qui me plaisait beaucoup au début et puis beaucoup moins à la fin / Tout cela n'aura servi à rien / L'impression de revenir trois mois en arrière / Tout ça pour ça / Reprendre le boulot pour une semaine / Essayer de penser à autre chose et se plonger dans le travail / Ecrire des billets sur mon autre blog / Regarder ma minette grandir et encore et encore / Panser les plaies, les bleus, les bosses, Quelle cascadeuse ! / Se venger en se jetant sur le saucisson, le saumon, le surimi, la mousse au chocolat... / Tenter une sortie en librairie qui n'a pas l'effet escompté (et je crois que j'ai acheté des trucs que je ne lirai jamais) / Vous avez déjà une fille, il y a des gens qui n'en ont pas (c'est sensé me réconforter ? Raté !) / Voir enfin un médecin décidé à régler cette situation / Profiter un peu du soleil / Recevoir un joli colis de Syl. Mille mercis Syl, c'était énorme !! / Avoir deux mois de retard au moins dans le boulot / Commencer un nouveau roman trop compliqué et un autre beaucoup plus intéressant / Voir ce court mois de février se terminer en espérant que mars sera plus gai et plus productif.


Un peu de crochet


Des gaufres parfaites ! 


Un peu de neige pour un mini bonhomme de neige


 De la peinture !! 


Paris du soir...


Allez, salut ! Rendez-vous le mois prochain !
Et les colis : 





dimanche 28 février 2016

Sunday mood et des petites madeleines...

Le banana bread du goûter est dans le four (recette ici et au chocolat ici) et promet d'être excellent.
Ma minette est couchée (ce qui ne veut pas dire qu'elle dort).
Le soleil brille, ce qui nous change un peu des derniers jours et me remonte le moral.
Je me suis préparé une tasse de thé, je me suis installée dans mon canapé.
Une petite semaine de congés s'ouvre devant moi, avec énormément de travail prévu, un gros boulot qui a pris du retard parce que je ne suis pas en forme, et des envies de printemps et de grand air.
Mais parfois, une pause devient nécessaire et le dimanche après-midi, c'est quand même le moment idéal pour se vautrer dans le canapé.


Les jonquilles sont là depuis plusieurs semaines.

Cette semaine, j'ai fini La fille du train en livre audio et c'était vraiment pas mal.
J'avais peur d'être déçue mais finalement, c'est bien mieux que ce à quoi je m'attendais.
J'enchaine avec un petit Brunetti, le dernier sorti, et après on verra.
Et puis il faudrait que j'écrive les billets qui attendent sur Le Guépard, l'appel du coucou, le ver à soie... 




En attendant, cette semaine, on a fait des petites madeleines avec ma minette.
J'ai utilisé ma recette habituelle, très facile et comme vous le voyez sur la photo, on obtient quasiment à tout les coups la fameuse bosse, à condition de respecter les changements de température à la cuisson.
Bon, à 23 mois, pas facile d'être assez patiente pour la cuisson et elles sont un peu brunettes mais elles ont quand même été engouffrées en deus goûters !





Pour une quinzaine de grandes madeleines ou une trentaine de petites : 

  • 3 oeufs
  • 150 g de beurre
  • 150 g de farine
  • 1/2 sachet de levure chimique
  • 150 g de sucre roux chez nous
  • des pépites de chocolat / le zeste et le jus d'un citron / des fruits rouges surgelés / de la fleur d'oranger... 

Fouetter les oeufs et le sucre.
Mélanger la farine et la levure tamisée.
Ajouter le beurre fondu mais pas chaud.
Aromatiser les madeleines à ce qui vous fait plaisir. Cette fois, on a fait citron-chocolat mais on peut faire plein d'autres mélanges.
Laisser reposer au moins une heure au frigo.

Attention, c'est là que réside la réussite de la bosse sur vos madeleines.
Préchauffer le four à 270° c. Sortir la pâte et mettre un peu de pâte dans les empreintes de votre moule (remplir aux 2/3).
Enfourner pour 4 minutes puis baisser la température du four à 210°c et poursuivre la cuisson 6 minutes (4 minutes pour les petites).
Sortir les madeleines et les mettre sur une grille pour qu'elles refroidissent.

Bon appétit !!


La petite musique du dimanche...











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