Ce mercredi, je vous parle d'une BD que j'ai lu cet été.
Le tome 2 est très attendu.
Je l'emprunterai très probablement à la bibliothèque et en attendant, si ce n'est pas encore fait, allez le lire pour avoir votre propre avis 😊
C'est d'ailleurs plutôt un roman graphique assez énorme puisqu'il y a 416 pages !
C'est aussi un livre déroutant, surprenant et... très présent sur les blogs.
Le petit éditeur qui l'a sorti en France, Monsieur Toussaint Louverture, a bien fait son travail de sélection puis de publicité.
Évidemment, les avis dithyrambiques ont éveillé ma curiosité.
Décrit comme un chef d'œuvre, un ovni littéraire, un monument du roman graphique, il ne fallait pas le manquer.
Mais finalement, je me suis rendue compte que je ne savais pas grand chose avant de le lire.
Karen dessine sa vie dans son cahier.
Elle entre dans l'adolescence et les relations humaines ne sont pas son fort.
Elle se dessine en monstre inadapté à la société dans laquelle elle évolue, persuadée qu'il y a des monstres dans la caves de son immeuble.
Sa mère travaille, elle n'est pas toujours présente et a des petites manies, et son frère a parfois des comportements louches mais l'emmène au musée voir des tableaux qui l'impressionnent beaucoup.
Elle entre dans l'adolescence et les relations humaines ne sont pas son fort.
Elle se dessine en monstre inadapté à la société dans laquelle elle évolue, persuadée qu'il y a des monstres dans la caves de son immeuble.
Sa mère travaille, elle n'est pas toujours présente et a des petites manies, et son frère a parfois des comportements louches mais l'emmène au musée voir des tableaux qui l'impressionnent beaucoup.
Quand sa voisine qu'elle aimait beaucoup est retrouvé morte, elle se pose forcément des questions...
Une foule de thèmes se bousculent dans ce livre foisonnant !
La pré adolescence et l'image de soi est évidemment ce qui parait le sujet premier, mais très vite, d'autres thèmes arrivent, comme les gangs, l'interprétation de l'art et les sensations que l'on peut ressentir devant un tableau, les relations humaines, la maladie, la Shoah, la résilience...
Chaque page peut partir dans une direction différente et emmener le lecteur vers autre chose.
Je dois quand même vous avouer avoir mis au moins quarante pages à rentrer dedans et j'ai trouvé cela un peu long.
Le trait d'Emil Ferris est particulier.
Tout est dessiné au stylo bille et certaines pages sont incroyables de précision.
Mais j'ai trouvé que cela peinait à démarrer.
Quand l'histoire prend un nouveau tournant, c'est devenu plus difficile de le lâcher parce que je voulais savoir la suite, sans que mon sentiment de longueur ne s'estompe vraiment.
La pré adolescence et l'image de soi est évidemment ce qui parait le sujet premier, mais très vite, d'autres thèmes arrivent, comme les gangs, l'interprétation de l'art et les sensations que l'on peut ressentir devant un tableau, les relations humaines, la maladie, la Shoah, la résilience...
Chaque page peut partir dans une direction différente et emmener le lecteur vers autre chose.
Je dois quand même vous avouer avoir mis au moins quarante pages à rentrer dedans et j'ai trouvé cela un peu long.
Le trait d'Emil Ferris est particulier.
Tout est dessiné au stylo bille et certaines pages sont incroyables de précision.
Mais j'ai trouvé que cela peinait à démarrer.
Quand l'histoire prend un nouveau tournant, c'est devenu plus difficile de le lâcher parce que je voulais savoir la suite, sans que mon sentiment de longueur ne s'estompe vraiment.
Le tome 2 est très attendu.
Je l'emprunterai très probablement à la bibliothèque et en attendant, si ce n'est pas encore fait, allez le lire pour avoir votre propre avis 😊