J'ai enfin réussi à finir ce roman !
Ce n'est sans doute pas la faute du texte lui-même vu que j'ai mis seulement deux après-midi à le finir à partir du moment où je me suis décidée.
Mais le fait est qu'il trainait sur ma table de nuit depuis plusieurs semaines (voire plusieurs mois).
Et pourtant, il m'a bien plu.
Philip Ashley a été adopté par son oncle Ambroise qui en a fait son héritier et son double plus jeune.
Misogyne, un peu ermite, Ambroise dirige son domaine en vieux garçon.
L'hiver, depuis quelques années, il part en Italie pour se soigner et respirer un air moins humide.
C'est là qu'il rencontre Rachel et l'épouse à la surprise générale.
Philip s'occupe du domaine pendant l'absence de son oncle et reçoit des nouvelles de plus en plus espacées jusqu'à ce qu'il apprenne le décès d'Ambroise.
Il part immédiatement pour Florence mais devra rentrer pour rencontrer la fameuse Rachel qu'il déteste déjà...
Elle est très forte cette Daphné du Maurier !
Evidemment, c'est difficile d'arriver au niveau de Rebecca, mais ce roman est vraiment très bon et assez différent.
Philip est un jeune homme en pleine formation, influençable et sanguin.
Avant même de la connaître, il hait Rachel, l'imagine comme un vampire qui a tué son oncle.
Mais à son arrivée, tout s'effondre et il perd tous ses repères.
Elle ne ressemble pas du tout à ce qu'il attendait et il se retrouve complètement perdu.
Comme le récit est entièrement vu du côté de Philip, on le suit, on est empêtré dans ses sentiments et on ne peut pas avoir une vision objective de la situation.
On finit même par penser comme lui, ne sachant comment y voir clair dans cette situation.
Evidemment, l'auteure s'amuse à distiller le doute, à ajouter un évènement perturbant à chaque fois que l'histoire semble être réglée.
Rachel est mouvante, insaisissable.
C'est assez fascinant.
Comme presque à chaque fois avec Daphné du Maurier, j'ai dû relire les premières pages pour savoir ce qu'il se passait après la dernière ligne.
Le récit commence toujours à la fin de l'histoire, avec un personnage qui revient sur les évènements passés.
Je ne saurais donc que vous conseiller d'être plus attentif que moi, mais c'est aussi ce qui fait le plaisir de du Maurier de se laisser enfermer dans cette boucle sans fin qui n'en finit pas de recommencer !
Ce n'est sans doute pas la faute du texte lui-même vu que j'ai mis seulement deux après-midi à le finir à partir du moment où je me suis décidée.
Mais le fait est qu'il trainait sur ma table de nuit depuis plusieurs semaines (voire plusieurs mois).
Et pourtant, il m'a bien plu.
Philip Ashley a été adopté par son oncle Ambroise qui en a fait son héritier et son double plus jeune.
Misogyne, un peu ermite, Ambroise dirige son domaine en vieux garçon.
L'hiver, depuis quelques années, il part en Italie pour se soigner et respirer un air moins humide.
C'est là qu'il rencontre Rachel et l'épouse à la surprise générale.
Philip s'occupe du domaine pendant l'absence de son oncle et reçoit des nouvelles de plus en plus espacées jusqu'à ce qu'il apprenne le décès d'Ambroise.
Il part immédiatement pour Florence mais devra rentrer pour rencontrer la fameuse Rachel qu'il déteste déjà...
Elle est très forte cette Daphné du Maurier !
Evidemment, c'est difficile d'arriver au niveau de Rebecca, mais ce roman est vraiment très bon et assez différent.
Philip est un jeune homme en pleine formation, influençable et sanguin.
Avant même de la connaître, il hait Rachel, l'imagine comme un vampire qui a tué son oncle.
Mais à son arrivée, tout s'effondre et il perd tous ses repères.
Elle ne ressemble pas du tout à ce qu'il attendait et il se retrouve complètement perdu.
Comme le récit est entièrement vu du côté de Philip, on le suit, on est empêtré dans ses sentiments et on ne peut pas avoir une vision objective de la situation.
On finit même par penser comme lui, ne sachant comment y voir clair dans cette situation.
Evidemment, l'auteure s'amuse à distiller le doute, à ajouter un évènement perturbant à chaque fois que l'histoire semble être réglée.
Rachel est mouvante, insaisissable.
C'est assez fascinant.
Comme presque à chaque fois avec Daphné du Maurier, j'ai dû relire les premières pages pour savoir ce qu'il se passait après la dernière ligne.
Le récit commence toujours à la fin de l'histoire, avec un personnage qui revient sur les évènements passés.
Je ne saurais donc que vous conseiller d'être plus attentif que moi, mais c'est aussi ce qui fait le plaisir de du Maurier de se laisser enfermer dans cette boucle sans fin qui n'en finit pas de recommencer !