En ce samedi après-midi tranquille et gris, je profite des derniers moments de vacances avant la reprise lundi.
J'ai mis de côté beaucoup de tâches plus ou moins urgentes, mais le repos est prioritaire pour pouvoir tout faire quand je me serai décidée.
On verra donc lundi, dans l'esprit de cette petite image trouvée par Annie.
Je suis d'ailleurs plongé dans un excellent livre de la rentrée littéraire.
Espérons que la bonne impression de départ va se prolonger.
Cela ne m'empêche toutefois pas de suivre l'actualité.
Le temps n'est pas au beau fixe pour nos célébrités culturelles et l'automne est assassin.
Après Chéreau, puis Descrières, voilà Gérard de Villiers qui nous quitte.
Parmi le lectorat de ce blog, je doute qu'il y en ait qui ait jamais lu un SAS (mais si c'est la cas, signalez-vous en commentaire, qu'on discute ^-^).
On peut discuter du style de l'auteur, de sa productivité et de la qualité de ses écrits, mais on ne peut pas nier qu'il fait partie du paysage du livre français.
Je vous avoue moi-même n'avoir jamais lu sa prose intégralement, et pourtant je possède un exemplaire.
Ma thèse portait en partie sur la paralittérature, cette partie de la littérature qui souffre d'un manque de légitimité institutionnel.
J'ai donc lu des Harlequin, un Ian Fleming, et je me suis procuré un SAS.
Saviez-vous qu'on ne les trouve pas dans les librairies ?
Il faut aller dans les relais H des gares pour s'en procurer, ou chez les bouquinistes, comme pour les Harlequin et comme au 19e siècle lorsque les bibliothèques de gare fleurissaient.
Mais je n'ai pas trouvé le temps de le lire.
Je le laissais plutôt sur mon bureau avec un Harlequin pour choquer mes collègues... et cela marchait à chaque fois, suscitant des réactions variées, gênées ou amusées.
Il faut dire que la couverture est expressive...
Bon vent l'agent secret !
J'ai mis de côté beaucoup de tâches plus ou moins urgentes, mais le repos est prioritaire pour pouvoir tout faire quand je me serai décidée.
On verra donc lundi, dans l'esprit de cette petite image trouvée par Annie.
Je suis d'ailleurs plongé dans un excellent livre de la rentrée littéraire.
Espérons que la bonne impression de départ va se prolonger.
Cela ne m'empêche toutefois pas de suivre l'actualité.
Le temps n'est pas au beau fixe pour nos célébrités culturelles et l'automne est assassin.
Après Chéreau, puis Descrières, voilà Gérard de Villiers qui nous quitte.
Parmi le lectorat de ce blog, je doute qu'il y en ait qui ait jamais lu un SAS (mais si c'est la cas, signalez-vous en commentaire, qu'on discute ^-^).
On peut discuter du style de l'auteur, de sa productivité et de la qualité de ses écrits, mais on ne peut pas nier qu'il fait partie du paysage du livre français.
Je vous avoue moi-même n'avoir jamais lu sa prose intégralement, et pourtant je possède un exemplaire.
Ma thèse portait en partie sur la paralittérature, cette partie de la littérature qui souffre d'un manque de légitimité institutionnel.
J'ai donc lu des Harlequin, un Ian Fleming, et je me suis procuré un SAS.
Saviez-vous qu'on ne les trouve pas dans les librairies ?
Il faut aller dans les relais H des gares pour s'en procurer, ou chez les bouquinistes, comme pour les Harlequin et comme au 19e siècle lorsque les bibliothèques de gare fleurissaient.
Mais je n'ai pas trouvé le temps de le lire.
Je le laissais plutôt sur mon bureau avec un Harlequin pour choquer mes collègues... et cela marchait à chaque fois, suscitant des réactions variées, gênées ou amusées.
Il faut dire que la couverture est expressive...
Bon vent l'agent secret !
Bon weekend !