Il y a des dimanches doux, plein de surprises et de tranquillité.
Il y a des dimanches où le ciel ne se découvre pas, mais on s'en fiche.
Il y a des dimanches où on ne sort pas mais la maison nous suffit.
Il y a des dimanches où il n'y a rien à la télé mais on a bien d'autres choses à faire.
Cette semaine, la rhino pharyngite a refait son apparition pour la troisième fois cette année.
Je tousse, j'ai mal partout, je n'entends rien et je dois rester le plus loin possible de mon mini moi pour éviter la contagion.
Sur ce dernier point, je crois que je n'y suis pas arrivée.
C'est dommage parce que cette semaine, j'ai enfin bien avancé dans le rangement de mon grenier, j'avais des trucs sympa de prévu qu'il a fallut annuler et j'avais prévu de travailler ce weekend sans résultat.
Cette semaine, le chef de gare m'a aussi dit que si j'étais dérangé par un sale type (voir ici), je n'avais qu'à m'assoir ailleurs.
Le problème, c'est que le sale type en question semble prendre le train tous les mercredis, est imprévisible et qu'il monte dans une voiture pour en changer ensuite.
Mais cette semaine, il y a eu aussi le printemps qui pointe le bout de son nez, les jonquilles en fleur cueillies par une petite main et déposées dans l'eau, une belle promenade sans manteau à la grande ville, un cours très gratifiant avec un sujet difficile mais des étudiants attentifs, une maison qui se range de plus en plus facilement (le grand tri continue).
Et puis ce dimanche, il y a eu une visite de ma maman, des crêpes impromptues juste parfaites faites par monsieur, mon canapé accueillant, la musique d'Erik Satie au début d'un épisode de l'inspecteur Morse, la machine à coudre enfin déballée après plusieurs mois d'attente, une enfant surexcitée, mon bureau enfin rangé.
La semaine qui arrive s'annonce périlleuse avec une voix qui fait défaut, un troisième rendez-vous chez le médecin en 3 mois (d'ordinaire, j'y vais à peine une fois par an), du travail en retard et urgent.
Alors on va écouter Erik Satie, méditer un peu pour arriver à travailler calmement, manger les deux dernières crêpes...
Bonne semaine à vous !
Il y a des dimanches où le ciel ne se découvre pas, mais on s'en fiche.
Il y a des dimanches où on ne sort pas mais la maison nous suffit.
Il y a des dimanches où il n'y a rien à la télé mais on a bien d'autres choses à faire.
Cette semaine, la rhino pharyngite a refait son apparition pour la troisième fois cette année.
Je tousse, j'ai mal partout, je n'entends rien et je dois rester le plus loin possible de mon mini moi pour éviter la contagion.
Sur ce dernier point, je crois que je n'y suis pas arrivée.
Cette semaine, le chef de gare m'a aussi dit que si j'étais dérangé par un sale type (voir ici), je n'avais qu'à m'assoir ailleurs.
Le problème, c'est que le sale type en question semble prendre le train tous les mercredis, est imprévisible et qu'il monte dans une voiture pour en changer ensuite.
Mais cette semaine, il y a eu aussi le printemps qui pointe le bout de son nez, les jonquilles en fleur cueillies par une petite main et déposées dans l'eau, une belle promenade sans manteau à la grande ville, un cours très gratifiant avec un sujet difficile mais des étudiants attentifs, une maison qui se range de plus en plus facilement (le grand tri continue).
Et puis ce dimanche, il y a eu une visite de ma maman, des crêpes impromptues juste parfaites faites par monsieur, mon canapé accueillant, la musique d'Erik Satie au début d'un épisode de l'inspecteur Morse, la machine à coudre enfin déballée après plusieurs mois d'attente, une enfant surexcitée, mon bureau enfin rangé.
La semaine qui arrive s'annonce périlleuse avec une voix qui fait défaut, un troisième rendez-vous chez le médecin en 3 mois (d'ordinaire, j'y vais à peine une fois par an), du travail en retard et urgent.
Alors on va écouter Erik Satie, méditer un peu pour arriver à travailler calmement, manger les deux dernières crêpes...
Bonne semaine à vous !