samedi 19 mars 2016

J'ai testé... les biberons MAM !!

Ma minette a eu droit à 18 mois d'allaitement !!
Oui, oui, 18 mois.
Je peux vous dire que j'ai entendu des réflexions de toute sorte.
Mais celles qui me faisaient bien rire, ce sont celles qui m'annonçaient un bébé dépendant, peu autonome qui ne saurait pas se débrouiller tout seul pour avoir été trop collé à sa maman.
Ma minette a passé 4 jours en réa à sa naissance et elle a eu une sonde pour manger pendant une dizaine de jours.
C'ÉTAIT un bébé glue, quelque soit le mode d'alimentation choisi ensuite !




Et puis quand on allaite et qu'on travaille, les biberons sont aussi présents dans nos vies.
J'ai repris le chemin du travail après 5 mois d'allaitement, je tirais mon lait, et papa le donnait au biberon quand je n'étais pas là.
Du coup, il a fallut choisir un tire-lait, des biberons, des tétines adaptées à un bébé allaité.
Je savais que ces tétines pouvaient être déterminantes pour la poursuite de l'allaitement, alors notre choix s'est porté sur les tétines plates MAM.
Et ma minette a tout de suite accepté de passer au biberon de temps en temps.




On a commencé avec des petits modèles, ceux qui ont un fond qui se dévisse.
Il y a une valve qui permet de faire le vide d'air et d'éviter les coliques du nourrisson.
Chez nous, ça a parfaitement fonctionné.
Aucune colique à l'horizon !
Et puis pour le nettoyage des biberons, c'est incomparable.
On peut tout nettoyer facilement en les démontant, l'éponge passe sans souci.
Par contre, je crois que l'utilisation d'un chauffe biberon est déconseillé.
Nous, on met au micro onde et c'est bon.




Depuis quelques temps, je les mets même au lave-vaisselle !!
C'est impeccable, ça chauffe à 70° et élimine une partie des microbes, et pas besoin de passer 3 heures à tout nettoyer !
J'adore !
Surtout qu'on est passé aux biberons plus grands, avec un corps entier.
Du coup, le lave-vaisselle est mon meilleur allié.




Et ces couleurs !!
Je rêve en ce moment d'un biberon turquoise.
Il sont trop beaux !
En attendant, on a des violets, un jaune et un gris.
Les illustrations sont adorables et ma minette passe de longues minutes à les regarder.




Quand les enfants grandissent, MAM propose des biberons de transition dont je vous avais déjà parlé sur ce billet.
On a aussi le kit pour se laver les dents, et le tire-lait manuel qui est parfait pour aller au bureau.
Il rentre dans un sac, est très efficace, discret, c'est top.




Chez nous, il a été adopté immédiatement !





Biberon gris offert

jeudi 17 mars 2016

La fille du train de Paula Hawkins { Prix Audiolib }

A sa sortie, ce livre était dans toutes les vitrines des librairies et dans beaucoup de mains dans les transports en commun. 
On l'a aussi beaucoup vu sur les blogs, avec des avis souvent très enthousiastes. 
Evidemment, comme je suis faible et influençable, j'avais très envie de le lire, et un peu aussi parce que je prends le train pour aller travailler et que le sujet me paraissait intéressant. 
Qui n'a jamais regardé les fenêtres éclairées des maisons le soir en se demandant ce que vivent les habitants ? 
Dans le train, c'est encore plus tentant sans doute. 
On passe tous les jours devant les mêmes maisons, on voit ceux qui vivent là, et l'imagination peut divaguer. 

Bon, en vrai, je ne le fais pas dans le train. 
Je regarde les jolies maisons de la grande banlieue, du côté de Maison Alfort, Asnières sur Seine, Vernouillet, Poissy, Achères... 
Mais il n'y a jamais personne aux heures où je passe et je ne cherche pas spécialement à voir les habitants. 
Je crois que j'aurais l'impression de violer leur intimité, et franchement, je suis souvent occupée à faire autre chose, vu que j'ai du mal à ne rien faire dans le train. 
Du coup, le petit avant-propos de l'auteur m'a franchement chiffonnée. 
Avec un excès de précautions assez mal venu, elle raconte l'histoire de son roman avant même qu'on l'ait ouvert (quelle idée ! Elle a l'impression qu'on ne va rien comprendre ?) et elle décrit surtout les passagers des trains de banlieue comme des voyeurs qui sont tous obnubilés par ce qu'il se passe devant les fenêtres. 
Gageons que les passagers des trains français sont différents, mais je n'ai pas l'impression que ce soit si répandu que cela. 
En tout cas, ce n'est pas mon cas ! 

Rachel prend le train tous les matins pour aller à Londres et tous les soirs dans le sens inverse. 
Elle connait le trajet par coeur. 
Il y a des ralentissements, un feu où le train s'arrête chaque matin, des maisons que Rachel connait bien. 
Deux années plus tôt, elle habitait dans l'une d'elle. 
Son mari y vit toujours avec sa nouvelle femme Anna. 
Mais ce qui intéresse surtout Rachel, c'est une autre maison où vit un jeune couple. 
Chaque jour, elle guette le passage devant cette maison, elle espère que le train fera une longue pause au feu pour pouvoir laisser son esprit divaguer. 
Elle leur imagine une vie chaque fois qu'elle les voit en passant, elle leur a donné des noms et leur a assigné des emplois et des passe-temps. 
Jason et Jess, deux jeunes artistes sportifs, sont donc un petit couple heureux et qui s'aime follement. 
Jusqu'au jour où Jess, alias Megan, disparait... 

J'ai été agréablement surprise par ce roman, je dois bien l'avouer. 
Très déçue par Avant d'aller dormir, j'avais peur de lire un roman du même genre, pseudo thriller dont la solution serait transparente et très ennuyeuse. 
Et puis finalement non ! 
Le récit est maitrisé, avec une belle structure et une tension bien distillée.
Trois voix sont mêlées pour plonger le lecteur au coeur du récit. 
Il y a Rachel, mal dans sa peau qui ne se souvient pas toujours de ce qu'elle a fait la veille et qui s'ennuie franchement dans sa petite vie. 
Et puis il y a Anna, la nouvelle femme, un peu névrosée aussi, parfois franchement hystérique. 
Et Megan, celle qui disparait dont le récit est au passé, remontant le temps qui a précédé sa disparition. 
Ces personnages sont bien construits, surtout Rachel qui occupe le devant de la scène. 
C'est une femme complexe, qui évolue pendant le roman d'une façon tout à fait vraisemblable. 

Je me rends compte en l'écrivant que les femmes décrites ici ont toutes quelque chose qui ne tourne pas rond.
Espérons que toutes les femmes qui vivent en banlieue de Londres ne soient pas toutes comme ça, ou il vaudrait mieux éviter d'aller y habiter.  

La version audio du roman est vraiment bonne. 
Trois lectrices se partagent le récit, avec des voix bien identifiables et qui permettent au lecteur de se repérer. 
La lecture est vivante, facile à suivre et je pense que j'aurais eu plus de mal à le lire en version papier. 

Comme cela m'arrive souvent, j'avais trouvé le coupable, mais j'ai douté jusqu'à la fin. 
Il n'y a pas de revirements spectaculaires, et pourtant on reste surpris par la succession des évènements. 


C'est donc un roman que je vous conseille sans hésiter, surtout si vous avez un trajet en train de prévu !  











mardi 15 mars 2016

La photo du mois #18 : un défi ou un challenge personnel

Ce mois-ci, je me suis creusé la tête pour répondre au thème que nous a proposé Chat bleu !
Jusqu'à hier soir très tard, je l'avoue, je n'avais aucune idée de ce que j'allais publier.
(Bon, en vrai, c'est quasiment toujours comme ça chaque mois, mais c'est pas grave)

Voilà donc le thème imposé : un défi ou un challenge personnel. 
Il est des envies qui fourmillent dans notre tête. 
L'une d'elles peut devenir un but, un challenge, le moyen de se dépasser. 
Alors, que feriez-vous pour y parvenir et le réaliser. 
Illustrez votre challenge afin de concrétiser votre rêve. 
Etonnez-nous avec vos photos.

En fait, mes défis ou challenges personnels sont difficilement illustrables (ça se dit ça ?).
En ce moment, mon challenge est d'arriver à ne plus être en retard dans mon boulot, et surtout à finir un gros travail d'écriture qui traine depuis longtemps.
Mais je n'ai pas envie de l'illustrer ici parce que j'aurais l'impression de figer la situation :p
Et puis mon deuxième challenge, c'est de finir tout mes encours au crochet et au tricot.
Bon, là, vu la montagne, cela manque d'esthétisme.

Du coup, j'ai cherché autre chose, un petit défi auquel je me suis confrontée plusieurs fois ces dernières années, et que je retrouverai sans doute bientôt : les voyages !

Je déteste cette phase où il faut s'arracher de chez soi, sortir de son cocon pour se mettre en danger en découvrant un nouvel endroit.
C'est très déstabilisant et je sens viscéralement l'insécurité dans laquelle je me plonge en me lançant dans un nouveau voyage.
J'avais résolu en partie le problème en commençant toujours mes séjours en Asie par un stop à Bangkok dans mon hôtel préféré, avec mon petit commerçant, ma chambre (toujours la même, je la demande par mail) et mes petites habitudes.
Mais les derniers voyages ne nous ont pas permis de stopper à BKK.
Et ça me manque, vous ne pouvez pas savoir.

Pas facile de choisir, d'ailleurs, il y a d'autres photos là qui me plaisaient aussi.

Mais comme il faut bien choisir, une petite vue de Roissy...







D'autres défis et challenges par ici :

AF News, Akaieric, Alban, Alexinparis, Angélique, Aude, Autour de Cia, BiGBuGS, Blogoth67, Brindille, Calamonique, Cara, Champagne, Chat bleu, Chiffons and Co, Chloé, Christophe, Cocazzz, Cécile, CécileP, Céline in Paris, Dame Skarlette, Danièle.B, DelphineF, Dom-Aufildesvues, E, El Padawan, Estelle, Eva INside-EXpat, François le Niçois, Frédéric, Gilsoub, Giselle 43, Guillaume, Homeos-tasie, J'habite à Waterford, Josette, Julie, Kenza, KK-huète En Bretannie, Koalisa, Krn, La Fille de l'Air, Lau* des montagnes, Laulinea, Laurent Nicolas, Lavandine, Lavandine83, Loulou, Luckasetmoi, magda627, Mamysoren, Marie, MauriceMonAmour, Milla la galerie, Mimireliton, Mireille, Mirovinben, Mon Album Photo, Morgane Byloos Photography, MyLittleRoad, Nanouk, Nicky, Noz & 'Lo, Pat, Philae, Pilisi, Pixeline, Renepaulhenry, Rythme Indigo, Sinuaisons, Sous mon arbre, Suki, Tambour Major, Testinaute, Thalie, Tuxana, Voyager en photo, Woocares, Xoliv'.



dimanche 13 mars 2016

Sunday mood

Cette semaine, j'ai enfin vu la fin d'un souci de santé qui m'enquiquinait depuis plusieurs semaines.
Et puis le soleil revient, les crocus sont fleuris et mon homme a trouvé un pied de fraisier dans mon jardin (il parait que c'est moi qui l'ai mis l'an dernier mais je mets tellement de trucs qui sont apparemment en voie d'extinction que je ne me rappelle pas de ceux qui ont droit au dernier recours de transplantation dans le jardin...).
ça sent le printemps tout ça et j'ai des envies de renouveau, de prendre l'air, de voir du pays.




En attendant, j'ai commencé par finir tout ce qui est commencé dans mon panier à ouvrage.
Et il y avait du boulot !
Il y a notamment un chat destiné à un bébé tout neuf mais déjà là depuis un mois, des petits bidules pour un jeu pour ma minette que je vous montre bientôt, et surtout surtout une écharpe commencée il y a... 3 ANS !!!!
Hier, j'ai dit à ma mamie (bon anniversaire mamie) que je l'avais reprise et elle m'a dit "celle que tu faisais à la maternité ?" "euh bah oui, je suis une lente du tricot".
Du coup, je vous avoue que j'abandonne aussi deux gilets pour ma minette qui ont été commencé il y a deux ans ou l'an dernier et évidemment, ce n'est plus sa taille et je n'ai aucune envie de m'y remettre.

Je trie aussi, j'adore ça, ça me fait un bien fou !
La semaine dernière, j'ai facilement rempli un sac de 100 litre de bazar mais c'était des trucs déjà triés pour la poubelle depuis longtemps.
Cette semaine, j'ai eu plus de mal, mais dans mes placards de cuisine et dans mon bureau, j'ai trouvé des trucs à jeter.
Vive le désencombrement, ça allège l'esprit.
J'envisage aussi de me débarrasser de vieux vêtements et d'une pile de livre... Affaire à suivre...




Et sinon, pas de recette ce dimanche.
On a eu droit à un beau gâteau du dimanche apporté par belle-maman, alors je m'en suis tenu aux carottes à la marocaine de Syl puis à un tournedos aux pommes de terre au four (on épluche et on coupe, on met une cuillère d'huile d'olive, du paprika, plein de thym du jardin et au four une heure. Inratable).
C'était parfait avec une grande randonnée digestive de 5 km qui nous a permis de respirer à plein poumons.

Je vais maintenant finir ce dimanche en douceur, avec au choix un livre audio dans les oreilles qui me plonge dans un futur fantasmé mais pas si impossible que cela, ou avec un livre papier qui m'emporte en Suède avec Mikael Blomkvist (il a pour moi la tête de Daniel Craig et... comment vous dire... je me verrais bien dans une cabane en Suède).

Je vous mets aussi une petite chanson qu'on aime beaucoup en ce moment et je vous souhaite un bon début de semaine.









dimanche 6 mars 2016

Sunday mood...

Hé toi !
Oui, toi qui pose tes yeux sur ce billet !
J'ai des questions à te poser :

  • est-ce qu'il n'y a que moi qui ai du mal à m'y mettre quand j'ai un boulot compliqué à faire ? 
  • est-ce qu'il n'y a que moi qui laisse trainer et qui me retrouve à demander des délais parce que je n'ai pas osé me lancer plus tôt ? 
  • ou alors je suis mal organisée ? 
  • et toi aussi il t'arrive d'avoir ce truc que personne n'a jamais et qui est tellement rare que ça n'aurait pas dû t'arriver ?
Bon, allez, c'est pas grave hein, un jour j'aurai confiance en moi, un jour je serai top organisée, un jour ma maison sera propre et rangée, un jour mon panier de linge ne débordera pas, un jour je pourrai bouquiner le dimanche après-midi, un jour je ne m'énerverai pas après ma minette pendant toute une journée, un jour j'irai au marché le dimanche matin et je cuisinerai, un jour je ferai des gâteaux, un jour je serai bienveillante envers moi-même, un jour...

ou pas !

Bon dimanche...
(moi je retourne bosser hein)
(et j'ai mis plein de photos sur l'autre blog : par ici)







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