Passons l'éponge sur le mois de juin et ses échecs livresques dont je vous parlais hier, pour aborder le mois de juillet avec enthousiasme.
Les universitaires ne sont plus ce qu'ils étaient et les vacances n'arriveront pas avant le 12 juillet (et la rentrée en octobre, c'est fini aussi évidemment !).
Mais ce que je ne vous ai pas dit, c'est que nous nous sommes octroyés quelques jours de pause au soleil.
Au mois de juin, il y a donc eu...
Un mois difficile plein de travail qui tombe en cascade.
Des copies corrigées.
Des rendez-vous pour rassurer des étudiants.
Des dizaines de mails pour motiver les troupes et les pousser à finir leurs mémoires.
Des surveillances d'examen.
La maladie qui se faufile encore et n'épargne personne.
Les collègues qui râlent pour rien et sont un peu fatigants parfois.
Le train qui ne part pas ou n'arrive pas un peu trop souvent.
Les collègues qui râlent pour rien et sont un peu fatigants parfois.
Le train qui ne part pas ou n'arrive pas un peu trop souvent.
Le soleil du matin sur les Tuileries.
Le trajet en bus qui met de belle humeur même si parfois il faut marcher pour arriver à l'heure.
Le petit détour par le quartier des Halles.
Les achats de laine (j'avais promis d'arrêter) pour avoir des provisions pour l'été (j'ai un stock monstrueux) dans ce magnifique passage couvert (et pour mettre du baume au coeur).
La plage pleine de monde du dimanche et la plage vide de juin.
Une eau à 21° c !
L'air à 31° c !
L'eau qui appelle et qui invite à faire une pause.
L'eau qui console et qui apaise.
Un petit passage par le col d'Ibardin et ses boutiques détaxées.
Un stock de chocolat qu'on aimerait bien trouver aussi dans nos rayons.
Les fêtes de la Saint-Jean et toute la ville habillée en noir et rouge.
La première baignade de ma crêpe Suzette.
Les trois autres baignades enthousiastes de ma crêpe Suzette !
La fuite de ma crêpe Suzette sur la plage.
Un bébé qui grandit, qui grandit, qui va bientôt marcher.
Un bébé qui parle, qui parle, qui dit plein de nouveaux mots comme gateau !
Un bébé qui est de moins en moins un bébé...