La semaine dernière, j'ai évoqué Bodnath, mais je ne vous en ai pas vraiment parlé.
En ce dimanche tout gris en Normandie, je vous emmène encore une fois au Népal pour vous parler de cet endroit qu'il ne faut absolument pas manquer quand on voyage dans ce pays.
A côté de Katmandou, un petit village a été annexé par la capitale tout en conservant son authenticité.
Depuis des siècles, les marchands tibétains venus vendre leur laine, leur beurre et les pierres précieuses des montagnes font halte dans la banlieue de la capitale.
Autrefois simple campement de toile, ce lieu est progressivement devenu un vrai village, centré autour d'un stupa blanc gigantesque qui leur permettait de prier quand ils arrivaient ou au contraire, quand ils repartaient.
La communauté tibétaine s'est sédentarisée depuis l'invasion du Tibet, et les camps de réfugiés que l'on voit dans les documentaires ont leurs bureaux dans ce quartier.
Les temples se sont multipliés, certains en remplacement de temples détruits par les chinois, comme Shechen, la communauté de Mathieu Ricard.
Le quartier raisonne des prières et des instruments de musique utilisés pendant les prières.
Les tibétains viennent prier chaque matin et chaque soir en tournant autour du stupa.
C'est très serein, il n'y a pas de voiture, pas de klaxon, pas de détritus au milieu des rues.
D'ailleurs, de nombreux touristes ne séjournent pas dans Katmandou, mais préfèrent Bodnath, ce que nous ferons aussi si nous y retournons.
Si vous vous rendez bientôt au Népal, laissez un petit commentaire et je farfouillerai dans mon carnet de voyage pour vous donner l'adresse exacte de l'hôtel où nous étions.
Il y en a plusieurs, mais certains sont tenus par des moines, dans des temples, et c'est un enchantement d'y rester quelques jours.
Il y a aussi de nombreux treks d'un journée à faire au départ de Bodnath (pas de panique, un trek népalais, c'est une randonné qui monte et qui descend ^-^).
En ce dimanche tout gris en Normandie, je vous emmène encore une fois au Népal pour vous parler de cet endroit qu'il ne faut absolument pas manquer quand on voyage dans ce pays.
A côté de Katmandou, un petit village a été annexé par la capitale tout en conservant son authenticité.
Depuis des siècles, les marchands tibétains venus vendre leur laine, leur beurre et les pierres précieuses des montagnes font halte dans la banlieue de la capitale.
Autrefois simple campement de toile, ce lieu est progressivement devenu un vrai village, centré autour d'un stupa blanc gigantesque qui leur permettait de prier quand ils arrivaient ou au contraire, quand ils repartaient.
La communauté tibétaine s'est sédentarisée depuis l'invasion du Tibet, et les camps de réfugiés que l'on voit dans les documentaires ont leurs bureaux dans ce quartier.
Les temples se sont multipliés, certains en remplacement de temples détruits par les chinois, comme Shechen, la communauté de Mathieu Ricard.
Le quartier raisonne des prières et des instruments de musique utilisés pendant les prières.
Les tibétains viennent prier chaque matin et chaque soir en tournant autour du stupa.
C'est très serein, il n'y a pas de voiture, pas de klaxon, pas de détritus au milieu des rues.
D'ailleurs, de nombreux touristes ne séjournent pas dans Katmandou, mais préfèrent Bodnath, ce que nous ferons aussi si nous y retournons.
Si vous vous rendez bientôt au Népal, laissez un petit commentaire et je farfouillerai dans mon carnet de voyage pour vous donner l'adresse exacte de l'hôtel où nous étions.
Il y en a plusieurs, mais certains sont tenus par des moines, dans des temples, et c'est un enchantement d'y rester quelques jours.
Il y a aussi de nombreux treks d'un journée à faire au départ de Bodnath (pas de panique, un trek népalais, c'est une randonné qui monte et qui descend ^-^).
(Pour ouvrir le diaporama, cliquer sur une photo.)
Le stupa est au milieu du quartier désormais.
Dans la journée, il fait trop chaud et le stupa est désert mais...
...le soir, les pèlerins affluent.
Les femmes tibétaines ne font plus la route à genoux,
mais pour compenser, elles s'allongent et se relèvent pendant plusieurs heures à côté du stupa.
Les drapeaux de prière leur permettent d'aller vers les dieux.
Les pèlerins font plusieurs fois le tour du stupa en tournant les moulins à prière.
Le jour de la fête de Bouddha, le stupa est envahi jusque tard dans la nuit.
Monastère de Shechen, dont dépend Mathieu Ricard.
Il faut de bons yeux, mais voici la boite à lettre de Mathieu Ricard :^)
Chez Lyiah, on passe le dimanche en photo et c'est aussi chez :