Je me rends compte que je lis peu de littérature américaine.
Pour y remédier, j'ai ouvert un roman qui était dans ma liseuse depuis quelques temps.
Les thématiques étaient alléchantes, les critiques plutôt bonnes.
Au début des années 80, à New York, Raul Engales, peintre argentin en exil tente de se reconstruire en fuyant son passé.
Il peint frénétiquement, jusqu'à la ruine même, pour exorciser les démons qui lui apparaissent la nuit.
Quand il croise la route de James Bennett, critique d'art au New York Times, c'est la marche qu'il attendait mais tout ne va pas se passer comme prévu...
J'avoue avoir eu du mal à arriver au bout.
Le titre annonçait à la fois NewYork et le monde de l'art.
Malheureusement, je n'ai pas senti la présence de la ville autrement que comme un décor et pour l'art, cela aurait pu être nettement plus travaillé.
L'autrice cite quelques artistes, comme du name dropping qui ne va pas plus loin.
C'est dommage car il y avait là quelque chose à creuser.
Mais bon, le roman est déjà suffisamment long et il y est plutôt question de s'aimer, ne plus s'aimer, de sexe, de descente aux enfers, de remontée, de piston aussi et d'injustice de la vie.
Il y a là le réveil d'une époque qui n'est plus, d'un temps qui semblait plus libre, peut-être plus intense.
Cela ne restera pas dans les annales pour moi, mais vous pourriez aimer...
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