mercredi 24 novembre 2010

Challenge Marilyn Monroe

Cette semaine, George semble être prise d'une challengite aiguë !
Mais elle a raison, il faut préparer 2011 et un challenge commencé au premier janvier est toujours plus simple à réaliser ;)

Ayant un degré de challengite assez élevé moi aussi, j'ai tendance à m'inscrire dès qu'un livre adéquat est présent dans ma PAL, ou dès que le logo est joli !
Et pour le challenge Marilyn, il n'y a pas moins de trois logos.

La première photo est présente sur ce blog depuis sa création, je l'aime donc forcément ! Et avec une telle photo, je ne pouvais que m'inscrire à ce challenge.
Quant à la troisième, elle met l'accent sur un aspect peu connu de la personnalité de Marilyn : son goût pour l'écriture. Je le réserverai donc sans doute à la lecture de Fragments, poèmes, écrits intimes.
















Mais que lire pour ce challenge ?

Voici ma liste prospective et provisoire pour l'année prochaine (et oui, je m'en fiche d'avoir une PAL qui explose ! L'inverse me stresserait !) :

- Fragments, poèmes, écrits intimes, lettres de Marilyn Monroe (et si je le demandais au Père Noël ?)
- Blonde de Joyce Carol Oates
- un ou deux livres de photos qui sont chez ma maman

Je pense voir (ou revoir)  : 

- Les Misfits 
- Certains l'aiment chaud




Chouette programme, merci George !! 
f


mardi 23 novembre 2010

Ce n'est plus lundi, que lisez-vous quand même ? 3°

Ah, bah mince ! Ce n'est plus lundi et mon billet n'a pas été posté !

C'est pas grave, ce sera un "Ce n'est plus lundi, mais que lisez-vous quand même ?"  
J'aménage la formule de Malou, j'espère qu'elle ne m'en voudra pas.


La semaine dernière, j'ai lu plein de choses.
J'ai fini Jean d'Ormesson, j'ai fini le tome 29 de Detective Conan, J'ai terminé Grand Paradis, et j'ai lu Nagasaki.
J'avoue ne pas avoir accroché pour le d'Ormesson.
Par contre, Détective Conan est un manga qui me plait toujours autant.
Grand Paradis me laisse un avis globalement positif, et j'ai adoré Nagasaki, dévoré en deux jours ! (billets à venir cette semaine).






En ce moment, je lis La Princesse de Montpensier.





Cette semaine, je vais lire La Ballade de Lila K de Blandine Le Callet et Zigzags en France de Théophile Gautier.






Et en passant à la librairie hier, je n'ai pas pu résister à ce gros pavé, et surtout à son marque page finement ciselé !




C'est joli, non ? 

g

dimanche 21 novembre 2010

Ben moi, j'aime les dimanches !

J'ai inauguré hier une nouvelle catégorie sur ce blog : Billets d'humeur :)
Et ça tombe bien, car ce matin, j'avais encore envie de discuter.

En rentrant du marché, un peu avant midi, j'entends à la radio le chanteur Raphaël qui parle d'une des ses dernières chansons "je hais les dimanches".
C'est un titre qui n'est pas nouveau, et j'ai appris qu’Édith Piaf, Juliette Greco ou Charles Aznavour avaient eux-aussi chanté une chanson portant ce titre.
Chacun y va ensuite de son avis sur le dimanche, jugé ennuyeux, mortel, et résolument élu le pire jour de la semaine.

Et là, j'ose affirmer que je ne suis pas d'accord ! 
Le dimanche, c'est le jour du marché. Quand j'étais étudiante, à Rouen, la ville était déserte sauf sur la place du marché où les cafés étaient pleins, comme les étals de fruits et légumes.
Le bourg le plus proche de chez moi a aussi un marché du dimanche, assez réputé. Là encore, et même lorsqu'il crachine comme ce matin, il y a du monde, des petits producteurs locaux, des produits frais.
Je rempli mon panier, je passe chez le boulanger et chez le marchand de journaux, puis je rentre au chaud chez moi.

(vous avez vu le super hors-série de Lire sur Agatha Christie ? )


Les poêles à bois ronronnent, et après le déjeuner, je m'installe au chaud dans mon fauteuil, avec une bonne tasse de thé et un bouquin.

En milieu d'après-midi, il arrive que nous ayons des visites au fond de notre campagne.
Les amis (et mon papa aussi !) savent que le samedi est le jour des gâteaux et qu'il y a toujours du thé de saison qui les attend.

Vers 18h vient un autre moment que j'apprécie particulièrement le dimanche.

Il faut préparer le cartable du lundi, le bento et songer au repas du soir, voire à celui du lundi soir, pour simplifier la reprise de début de semaine. La cuisine est propre, la maison est rangée et tout est prêt pour le lundi.

Je peux donc passer mon dimanche soir tranquille devant la télé.

Evidemment, ce programme est surtout valable l'hiver.

En été, il faut remplacer certaines étapes, le déjeuner se prend dehors, la lecture d'après repas se fait dans le hamac du jardin et il faut aussi prévoir un temps pour arroser.
Quand j'ai terminé les tâches incompressibles du dimanche soir, on s'assoit sur la terrasse, et on profite de la soirée.

Et vous ? 
Vous aimez les dimanches ? 

g

La Tête en l'air

Chez madame Zaza Of Mars, on peut gagner un super agenda. 
Cet agenda se ballade sur plein de blogs, et ce n'est pas la première fois que je tente un petit concours. 
Mais comme j'aime bien publier des photos, je retente. :)

Cette fois-ci, Madame Zaza nous demande de lui montrer notre tête en l'air. 

J'aimerais parfois avoir un peu plus la tête en l'air. 
Mais ce n'est pas le cas, je suis plutôt terre à terre. 
Alors je vous montre ce qui fait ma particularité en hiver et qui se localise en l'air, sur ma tête : mes bonnets ! 
Et surtout celui-ci que vous avez peut-être déjà vu chez George pendant son concours sur les chats, ou sur mon blog de bento.
Il est chouette, n'est-ce pas ? 




Et chez Zaza, d'autres participants : 

samedi 20 novembre 2010

De l’inconvénient des adaptations télé

Mercredi dernier, confortablement installée devant ma télé, je regarde sur France 2 les contes et nouvelles du 19e siècle.
A l’annonce du programme, je vois que le deuxième épisode s’intitule Pour une nuit d’amour, et est tiré de la nouvelle d’Émile Zola.
Chouette, j’ai lu cette nouvelle au mois de juillet (clic pou le billet) et elle m’est bien restée en mémoire. Et comme j’avais aimé, j’attends avec impatience le début de l’épisode.

Oui, mais voilà, alors qu’il est écrit dès le générique « de Émile Zola », je dirais plutôt qu’il s’agit d’un film « inspiré par » car franchement, la nouvelle et tout ce qui fait son sel est bien loin de ce que j’ai vu pendant une heure !
Le scénariste a pris plus que des libertés avec le texte de Zola, pourtant parfaitement écrit et construit.

Prenons les personnages, par exemple. Le héros est un jeune homme orphelin, seul et intellectuellement peu évolué. Il n’est pas simplet, mais il a peu d’occasions de discuter et de faire travailler son intellect. Dans le film, il se retrouve affublé d’un pied bot ! Mais quel intérêt ?
La jeune femme dont il est censé tomber amoureux est une jeune noble fraîchement sortie du couvent. Ses parents reçoivent peu, sa vie est peu animée et on la devine oie blanche à peine sortie de l’adolescence.
Là, l’oie blanche s’est transformée en veuve joyeuse, avec une Mathilda May qui est loin de ses 16 ans et qui s’adonnent à la luxure avec son ami d’enfance !
Cette modification entraîne une transformation complète de l’histoire.

(Attention, je vais dévoiler la fin de l’histoire)
Chez Zola, l’oie blanche se révèle subitement gourgandine et le pauvre Julien tombe de haut.
Il tombe tellement de haut qu’il décide de se suicider plutôt que de profiter de la nuit d’amour promise.
Dans le film, il refuse la nuit d’amour, mais il est emprisonné et finit sa vie au bagne. Quand à la jeune femme plus si jeune, elle se remarie avec un comte et tout se finit bien.
Je ne vois pas l’intérêt de ce genre de modification.
Le texte de Zola n’est plus là, il ne s’agit plus que d’une réécriture moyenne de l’histoire originelle. Personnellement, je la trouve moyenne car elle devient banale. Une femme tue son amant et demande à un autre, amoureux transi de faire disparaître le corps. Où est l’originalité ?
J’aurais tendance à penser que le choix des comédiens guide ces adaptations. Comment faire passer Mathilda May pour une jeune jouvencelle ? La modification du scénario était indispensable.

Ce n’est pas la première fois que je vois ce genre d’adaptation concernant des nouvelles, adaptations moins fréquentes, il me semble, quand il s’agit de romans plus conséquents.
Si vous croisez ce téléfilm (ici par exemple), vous passerez un bon moment, et finalement, vous pourrez quand même lire la nouvelle, qui n’a rien à voir.

Et vous ? Vous avez déjà vu des adaptations aussi éloignées de l’original ?
Et vous regardez les adaptations avant ou après avoir lu les livres ?      
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