Cette année, pour les matchs de la Rentrée littéraire de Rakuten, la liste de livres proposés ne m'inspirait pas, je l'avoue.
Nos marraines avaient pourtant bien fait les choses et les titres étaient très variés.
Je me suis quand même décidé pour trois titres, et j'ai obtenu le dernier de la liste.
Heureusement, c'était une belle surprise.
Dans la petite ville de Lubok Sayong, les crues sont fréquentes, mais celle-ci est particulièrement longue et chacun s'adapte et tente de patienter paisiblement jusqu'à la décrue.
Auyong circule dans la ville et va voir ceux qu'il connait pour prendre des nouvelles...
Il s'ensuit une chronique cocasse de la vie des habitants de cette ville et de leur capacité d'adaptation à la situation.
Beevi, qui devient vite le personnage le plus important de cette histoire, est une vieille dame qui a un poisson caractériel pour animal de compagnie, tandis que la jeune fille qu'elle recueille s'appelle Mary-Anne parce que les filles de l'orphelinat d'où elle vient s'appellent toutes Mary quelque chose.
Auyong, qui raconte en alternance avec Mary-Anne, est un vieux monsieur acariâtre mais avec un bon fond.
Les pérégrinations du vieil homme dans la ville inondée et le regard de l'enfant permettent de croquer la vie d'une petite ville tout en donnant une image de ce pays qui peut nous paraître si lointain.
Mêlant la modernité et la tradition, cette communauté n'est pas si éloignée de nos petites villes même si bien des usages s'en éloignent.
Et finalement, on se laisse porter par les mots de Shih-Li Kow qui raconte si bien.
On est happé par les récits multiples, par les portraits qu'elle nous offre et par les péripéties à la fois joyeuses et tragiques qui marquent ces personnages.
Le ton est gai, faussement léger pour évoquer des thèmes qui touchent forcément comme l'amitié, l'épanouissement personnel, la solidarité, l'acceptation de l'autre ou la religion.
C'est une jolie façon de découvrir la littérature malaisienne que je vous conseille sans hésiter !!
Merci Decitre et Rakuten
#Lasommedenosfolies #shihlikow #MRL18 #Rakuten
Nos marraines avaient pourtant bien fait les choses et les titres étaient très variés.
Je me suis quand même décidé pour trois titres, et j'ai obtenu le dernier de la liste.
Heureusement, c'était une belle surprise.
Dans la petite ville de Lubok Sayong, les crues sont fréquentes, mais celle-ci est particulièrement longue et chacun s'adapte et tente de patienter paisiblement jusqu'à la décrue.
Auyong circule dans la ville et va voir ceux qu'il connait pour prendre des nouvelles...
Il s'ensuit une chronique cocasse de la vie des habitants de cette ville et de leur capacité d'adaptation à la situation.
Beevi, qui devient vite le personnage le plus important de cette histoire, est une vieille dame qui a un poisson caractériel pour animal de compagnie, tandis que la jeune fille qu'elle recueille s'appelle Mary-Anne parce que les filles de l'orphelinat d'où elle vient s'appellent toutes Mary quelque chose.
Auyong, qui raconte en alternance avec Mary-Anne, est un vieux monsieur acariâtre mais avec un bon fond.
Les pérégrinations du vieil homme dans la ville inondée et le regard de l'enfant permettent de croquer la vie d'une petite ville tout en donnant une image de ce pays qui peut nous paraître si lointain.
Mêlant la modernité et la tradition, cette communauté n'est pas si éloignée de nos petites villes même si bien des usages s'en éloignent.
Et finalement, on se laisse porter par les mots de Shih-Li Kow qui raconte si bien.
On est happé par les récits multiples, par les portraits qu'elle nous offre et par les péripéties à la fois joyeuses et tragiques qui marquent ces personnages.
Le ton est gai, faussement léger pour évoquer des thèmes qui touchent forcément comme l'amitié, l'épanouissement personnel, la solidarité, l'acceptation de l'autre ou la religion.
C'est une jolie façon de découvrir la littérature malaisienne que je vous conseille sans hésiter !!
Merci Decitre et Rakuten
#Lasommedenosfolies #shihlikow #MRL18 #Rakuten