On est au début du mois d'août, il n'y a pas grand monde sur les blogs, ma minette refuse de dormir plus de 10 minutes hors de mes bras (ça lui arrive de temps en temps), le temps est tout gris, il y a une mouche qui m'asticote dans ma cuisine, c'est lundi, ce roman attend depuis longtemps...
Autant de raison d'écrire ce billet, n'est-ce pas ?
Car voyez-vous, je ne me souviens absolument pas de l'histoire de ce roman !
Je me souviens l'avoir lu, mon carnet de lecture en témoigne.
Je me souviens l'avoir moyennement aimé.
Mais pour le reste, il va falloir que je puise dans mes notes pour me rafraichir la mémoire.
Du coup, ce billet sera aussi plus court et peut-être pas vraiment objectif.
Mais bon, on s'en fiche un peu.
C'est un blog ici, pas une fiche de bibliothèque !
C'est donc forcément toujours subjectif !
Et je vous le dit avant même que vous poursuiviez votre lecture : n'hésitez pas à le lire tout de même et à venir me dire que vous, au contraire, vous l'avez adoré (^-^).
C'est beau la contradiction !
En recherchant des résumés pour me rafraichir la mémoire, l'histoire m'est tout de même revenue.
Mais c'est un bien mauvais signe de ne plus avoir d'image après cette lecture.
Aux Hollows, la vie s'écoule paisiblement.
Il y a Jones Cooper, policier à la retraite qui tue le temps en s'occupant des jardins de ses voisins et en essayant de fuir un peu sa femme qui l'ennuie.
Il y a Paula qui a deux enfants, tient sa maison avec une célérité qui s'approche de l'obsession et qui ne sait plus trop qui est son mari.
Il y a Bethany Graves, écrivain, qui est venue s'installer aux Hollows avec sa fille Willow pour fuir la ville et ses dangers pour une adolescente.
Il y a Willow qui doit se reconstruire dans cette petite bourgade, retrouver ses repères, se faire de nouveaux amis.
Il y a Elise Montgomery, meurtrie par la vie, qui tente de partager ses visions pour aider les autres.
Il y a Michael Holt qui revient après 20 ans vider la maison de son père qui vient de mourir et doit se confronter à nouveau aux lieux de la disparition de sa mère...
Michael Connelly aurait apparemment écrit de ce livre "un thriller que vous ne pourrez pas lâcher !"
Vu que je m'ennuie un peu aussi chez Connelly, cela ne m'étonne pas vraiment.
(sans compte que ce genre de petites phrases est écrit sans même avoir vu la couverture du livre en question)
Il n'y a ici aucun thriller, je vous le dit tout de suite !
On est plutôt dans le roman psychologique où l'auteur prend plaisir à nous faire découvrir les personnages, à dévoiler leur caractère, leurs liens familiaux, ce qui les fait avancer dans la vie.
Et cet aspect est très réussi.
Je garde en mémoire des personnages, des individus bien campés qui m'ont paru avoir de l'épaisseur et une consistance qui fait que l'on y croit.
Quant au thriller, je ne l'ai pas vu.
Encore une quatrième de couverture qui induit le lecteur en erreur !!
Je me suis un peu ennuyé dans cette histoire qui prend son temps, mais a tendance à s'égarer un peu.
Chaque chapitre se concentre sur un des personnages et sur une facette de l'histoire.
C'est un procédé que j'apprécie toujours car j'aime voir se construire un objet complexe sous mes yeux et croiser les fils quand la fin du roman approche.
Cela fonctionne ici mais beaucoup de fils sont écrits en jaune fluo et il y a finalement peu de surprise à la fin.
Le style est agréable, même si parfois, on ne sait plus trop où on en est, l'auteur n'utilisant pas assez les guillemets à mon goût.
Il y a un autre roman du même auteur qui se déroule dans la même ville.
Les personnages sont récurrents et la lecture de ce second roman peut peut-être faire apprécier celui-ci, mais je ne suis pas motivée et je passe mon tour.
Néanmoins, que cela ne vous freine pas.
Pour les fans de romans psychologiques, celui-ci sera parfait !
Ce billet est tout de même bien long.
Je suis une incorrigible bavarde je crois.
(et au moment où je termine ce billet, ma crêpe Suzette réclame mes bras. Quel synchronisation !)
Autant de raison d'écrire ce billet, n'est-ce pas ?
Car voyez-vous, je ne me souviens absolument pas de l'histoire de ce roman !
Je me souviens l'avoir lu, mon carnet de lecture en témoigne.
Je me souviens l'avoir moyennement aimé.
Mais pour le reste, il va falloir que je puise dans mes notes pour me rafraichir la mémoire.
Du coup, ce billet sera aussi plus court et peut-être pas vraiment objectif.
Mais bon, on s'en fiche un peu.
C'est un blog ici, pas une fiche de bibliothèque !
C'est donc forcément toujours subjectif !
Et je vous le dit avant même que vous poursuiviez votre lecture : n'hésitez pas à le lire tout de même et à venir me dire que vous, au contraire, vous l'avez adoré (^-^).
C'est beau la contradiction !
En recherchant des résumés pour me rafraichir la mémoire, l'histoire m'est tout de même revenue.
Mais c'est un bien mauvais signe de ne plus avoir d'image après cette lecture.
Aux Hollows, la vie s'écoule paisiblement.
Il y a Jones Cooper, policier à la retraite qui tue le temps en s'occupant des jardins de ses voisins et en essayant de fuir un peu sa femme qui l'ennuie.
Il y a Paula qui a deux enfants, tient sa maison avec une célérité qui s'approche de l'obsession et qui ne sait plus trop qui est son mari.
Il y a Bethany Graves, écrivain, qui est venue s'installer aux Hollows avec sa fille Willow pour fuir la ville et ses dangers pour une adolescente.
Il y a Willow qui doit se reconstruire dans cette petite bourgade, retrouver ses repères, se faire de nouveaux amis.
Il y a Elise Montgomery, meurtrie par la vie, qui tente de partager ses visions pour aider les autres.
Il y a Michael Holt qui revient après 20 ans vider la maison de son père qui vient de mourir et doit se confronter à nouveau aux lieux de la disparition de sa mère...
Michael Connelly aurait apparemment écrit de ce livre "un thriller que vous ne pourrez pas lâcher !"
Vu que je m'ennuie un peu aussi chez Connelly, cela ne m'étonne pas vraiment.
(sans compte que ce genre de petites phrases est écrit sans même avoir vu la couverture du livre en question)
Il n'y a ici aucun thriller, je vous le dit tout de suite !
On est plutôt dans le roman psychologique où l'auteur prend plaisir à nous faire découvrir les personnages, à dévoiler leur caractère, leurs liens familiaux, ce qui les fait avancer dans la vie.
Et cet aspect est très réussi.
Je garde en mémoire des personnages, des individus bien campés qui m'ont paru avoir de l'épaisseur et une consistance qui fait que l'on y croit.
Quant au thriller, je ne l'ai pas vu.
Encore une quatrième de couverture qui induit le lecteur en erreur !!
Je me suis un peu ennuyé dans cette histoire qui prend son temps, mais a tendance à s'égarer un peu.
Chaque chapitre se concentre sur un des personnages et sur une facette de l'histoire.
C'est un procédé que j'apprécie toujours car j'aime voir se construire un objet complexe sous mes yeux et croiser les fils quand la fin du roman approche.
Cela fonctionne ici mais beaucoup de fils sont écrits en jaune fluo et il y a finalement peu de surprise à la fin.
Le style est agréable, même si parfois, on ne sait plus trop où on en est, l'auteur n'utilisant pas assez les guillemets à mon goût.
Il y a un autre roman du même auteur qui se déroule dans la même ville.
Les personnages sont récurrents et la lecture de ce second roman peut peut-être faire apprécier celui-ci, mais je ne suis pas motivée et je passe mon tour.
Néanmoins, que cela ne vous freine pas.
Pour les fans de romans psychologiques, celui-ci sera parfait !
Ce billet est tout de même bien long.
Je suis une incorrigible bavarde je crois.
(et au moment où je termine ce billet, ma crêpe Suzette réclame mes bras. Quel synchronisation !)
Et encore un billet en retard rédigé et publié !