samedi 17 octobre 2015

Un giro a... Firenze

Pendant mes études, je travaillais dans des centres de loisirs pendant mes vacances.
Et puis j'ai eu envie de voir un peu du pays, et les séjours à l'étranger pour les ados m'ont semblé pas mal pour visiter un peu l'Europe.
Je n'ai pas eu besoin de chercher beaucoup, le salaire n'est pas élevé et il n'y a pas tant de candidat qu'on pourrait le croire.
Quelques semaines après avoir cherché quelque chose d'à peu près sérieux, je partais pour la Toscane !




Ces trois semaines dans un camping avec plage privée (mais je déteste le camping et les douches chaudes étaient payantes) ont connu des hauts et des bas.
Quand on part en colo, le climat dépend beaucoup du responsable (et là je n'étais pas gâté) et des enfants (des ados avec un pourcentage obligatoire d'enfants placés ou en foyer pas tous contents d'être là).
J'ai ainsi appris à faire un constat en italien, visité les urgences de l'île d'Elbe, fait les courses encore et encore, rattrapé des ados boutonneux amoureux des demoiselles de la colo d'en face...
Mais on a aussi découvert Pise, Sienne, Florence, Elbe, les fleurs de courgettes, les pizzas blanches, des plages magnifiques, les glaces à l'italienne...

C'était il y a quelques années, je n'avais pas d'appareil numérique, alors encore une fois, ce ne seront pas mes photos mais celles qu'on peut trouver chez Google.




Avec des ados, on ne peut pas aller quelque part en se disant qu'on va juste flaner.
On avait donc prévu un petit itinéraire à choix multiple avec une partie commune à tous puis une heure de libre ensuite.
Comme on avait juste une journée trajet compris, on n'a pas vu grand chose, mais on a essayé de voir les monuments les plus importants.

On a donc commencé par le Palais Pitti qui était près de notre point de stationnement.
Il est situé sur la rive opposée à tous les monuments et permet de commencer la visite de la ville de façon un peu tranquille.




C'était censé être une visite pour tout le groupe mais... c'était fermé !
Les jardins sont très réputés et on s'était dit que ce serait une bonne idée de promenade pour pique-niquer (gratuitement en plus).
Mais... c'était fermé aussi !




On ne s'est pas démonté pour si peu, et on a pique-niqué sur le bord du fleuve.

Le palais est relié à la galerie des offices par le Ponte Vecchio.
Il suffit donc de suivre les galeries pour aller vers le coeur de la ville.
C'est amusant de suivre ce fil conducteur qui permet de bien comprendre comment fonctionnait cette ville.




Sur le pont, pas grand chose à signaler malheureusement.
C'est sympa de voir un pont habité, il n'y en a plus chez nous et c'est originale.
Les boutiques de souvenirs, c'est moins pittoresque et ce sont un peu tous les mêmes.
Les trois arches au milieu permettent de jeter un oeil au fleuve et à la ville.
C'est un lieu inévitable, mais n'en attendez pas trop.




Si on poursuit son chemin, la galerie des Offices et ses fabuleuses collection vous attendront dans le palais de droite sur la photo ci-dessus.
On n'a pas eu le temps de le visiter, c'est immense, et c'est aussi là que Stendhal a connu pour la première fois le fameux syndrome de Stendhal.




 Au bout de la rue, sur la place, vous tomberez sur le Palazzo Vecchio.
Ancien palais des Médicis, c'est là que se faisait réellement le pouvoir.
Dans le palais, les fresques sont magnifiques, les salles sont toutes plus belles les unes que les autres, c'est vraiment un endroit à ne pas manquer.
En plus, il y fait frais !




Si vous n'avez pas le temps ou pas l'envie de vous y enfermer, les Médicis étaient bien sympas et ont tout prévus !
Sur la place devant le palais, il y a trois arches monumentales qui abritent plusieurs statues magnifiques que tout le monde peut admirer sans ticket d'entrée.




En continuant à remonter cet axe vers la gare (si mes souvenirs sont bons), vous arriverez au Duomo.
C'était LE lieu que je voulais absolument visiter !
Je connaissais le dome et sa construction si particulière et j'avais vraiment envie de voir à quoi ça ressemblait.
J'ai donc bien veiller à ce que tous mes ados aient quelque chose pour couvrir leurs épaules, pas de chapeau pour les jeunes hommes, des sous pour payer l'entrée, et tout le monde dans l'église !




On n'a pas du tout été déçu.
J'avais un peu préparé la découverte, et même mes petits jeunes les plus absents dans leur tête sont restés subjugués par le monument.
Il faut dire que l'effet est spectaculaire dans cette grande nef vide qui mène au choeur de l'église où le labyrinthe vous permettra d'admirer la coupole.




Evidemment, on ne distingue pas tout, mais c'était quand même prévu pour être admiré d'en bas et les couleurs, les formes, tout est magnifique.




A Florence, il y a encore bien d'autres endroits qui vous charmeront.
J'en ai encore beaucoup sur ma liste.

Nous n'avions que quelques heures, mais c'est sûr, je repartirai visiter cette ville dans quelques temps.







jeudi 15 octobre 2015

La photo du mois #13 : nuage

Midi pile le 15, c'est la photo du mois !

Ce mois-ci, DameSkarlette nous invitait à réfléchir sur un thème simple mais qui peut se revéler complexe :
 nuage

"Que vous ayez la tête dans les nuages, que vous soyez sur un petit nuage, que vous rajoutiez un nuage de lait ou tout simplement que vous aimiez regarder les nuages et imaginer des formes avec ceux-ci, à vous d'interpréter à votre manière le mot NUAGE(S) comme vous l'entendez. A vos appareils...."

Des photos de nuages, j'en ai vraiment beaucoup dans mes archives. 
Des nuages roses, rouges, blancs, jaunes, bleutées... Des nuages asiatiques, européens, africains... Des nuages de couchers de soleil, des nuages de levers de soleil... 
Mais en cherchant cette photo, je n'en voyais qu'une très récente qui me paraissait la plus adaptée. 
N'arrivant pas à me décider, j'ai finalement pensé que cette photo était sans doute la bonne puisqu'elle me revenait toujours. 

Voici donc ma photo pour ce mois d'octobre, une photo graphique, prise il y a un mois du côté d'Alexanderplatz à Berlin. 
Cette antenne télé m'a fascinée pendant tout mon petit séjour et j'en ai même fait une série de photos (ici) pendant mes balades dans la ville. 
Mais je pense que les nuages qui l'entourent y sont pour beaucoup. 
Ils accentuent l'effet de verticalité avec leurs rondeurs horizontales. 
Sans les nuages, cette photo serait moins réussie et c'est pour cela que je l'ai choisi. 

Les nuages sont impossibles à prévoir sur nos photos et on regrette parfois qu'il y en ait, mais ils peuvent aussi nous permettre de faire de plus jolies photos ! 






D'autres photos de nuages par ici :

Renepaulhenry, Akaieric, BiGBuGS, Loqman, CécileP, Visites et voyages, Rythme Indigo, La Fille de l'Air, Gilsoub, Canaghanette, Alban, Krn, Mamysoren, Iris, Woocares, Lau* des montagnes, Julia, Noz & 'Lo, Lavandine, ratonreal, Luckasetmoi, Les bonheurs d'Anne & Alex, princesse Emalia, Milla la galerie, Memories from anywhere, Champagne, Sinuaisons, Homeos-tasie, Eva INside-EXpat, Carole en Australie, Frédéric, Fanfan Raccoon, Blogoth67, Thalie, Tuxana, J'habite à Waterford, Xoliv', Christophe, Aude, Cara, Morgane Byloos Photography, Giselle 43, Chat bleu, Nicky, Testinaute, Chloé, Philisine Cave, Lavandine83, Tambour Major, Céline in Paris, Dom-Aufildesvues, Laulinea, Philae, Brindille, Galéa, Pilisi, Koalisa, Dame Skarlette, Les Bazos en Goguette, Guillaume, Kenza, Autour de Cia, François le Niçois, magda627, Isaquarel, Danièle.B, MauriceMonAmour, Marie, Pixeline, Chiffons and Co, Pat, Les Filles du Web, Rosa, Estelle, KK-huète En Bretannie, DelphineF, Nanouk, Un jour, une vie, A'icha, Alexinparis, MyLittleRoad, Laurent Nicolas, El Padawan, Josette, Cricriyom from Paris, Lyonelk, Dr. CaSo, Loulou, Suki, Voyager en photo.





mercredi 14 octobre 2015

Mort en terre étrangère de Donna Leon

J'ai un petit plaisir d'été : regarder Brunetti sur France 3 le dimanche soir ! 
C'est souvent un plaisir éphémère parce que la chaine n'en programme jamais beaucoup à la suite, alors je me suis dit il y a quelques années que je pourrais quand même les lire, ce qui me garantirait un plaisir plus long ! 
(oui, je sais, on pourrait lire ces phrases avec un petit sourire grivois, mais que voulez-vous, quand on aime...)
Donna Leon

J'ai commencé avec deux tomes achetés bien loin d'ici pendant des vacances en Asie dont je vous parlerai peut-être la semaine prochaine.
Je n'avais pas trop de choix, le Laos n'étant pas très bien approvisionné en romans français, alors j'ai pris ceux qui étaient là, bien qu'il s'agisse des tomes 11 et 12.
Et puis j'ai eu envie de les lire dans l'ordre pour voir les personnages se construire. 
Après avoir lu Mort à la Fenice, j'ai cherché le deuxième tome sans succès. 
Il n'était plus édité !! 
Pour une telle série, et même si l'éditeur change sa charte éditoriale et refait les couvertures, c'était tout de même un peu fort !
Et puis finalement, j'ai découvert qu'il était disponible, mais en Points2. 
Ce petit format si particulier (qui n'est plus fabriqué j'ai l'impression) m'a séduit immédiatement.
C'est pratique, léger, on peut le tenir à une main, c'est vraiment bien fichu.
Dommage qu'il coute un peu plus cher, sans doute ce qui a empêché son succès.


Au petit matin, au détour d'un canal, le corps d'un jeune homme est retrouvé dans l'eau stagnante. 
Son uniforme oriente immédiatement l'enquête vers la base américaine située à proximité de Venise. 
Le jeune soldat aurait été victime d'une agression crapuleuse puis jeté dans la lagune. 
Mais cette version des faits ne satisfait pas Brunetti, surtout lorsqu'il rencontre la jeune médecin qui vient identifier le corps. 
Ses réactions ne sont pas ordinaires et Brunetti décide d'aller jusqu'à la base pour en apprendre davantage. 
Mais il est difficile d'entrer dans cette petite société qui vit en vase clos et qui a clairement quelque chose à cacher... 
Autant le dire tout de suite, je me suis plongée dans cette histoire avec délice.
J'avais vu le téléfilm correspondant à ce titre, mais je pense que les histoires sont pas mal modifiées dans le feuilleton.
Cela ne m'a donc pas gênée du tout. 
Et puis les rues de Venise, les canaux, les petits cafés, tout participe à la construction d'une image très italienne. 
Je ne suis jamais allée à Venise, mais je retrouve ces habitudes du café ristretto servi au comptoir avec un croissant beaucoup trop sucré dont on guette la confiture d'abricot pour vérifier qu'elle est de bonne qualité. 
Pour l'ambiance, ce deuxième tome est encore une fois une réussite !

Ce que j'aime aussi dans ces romans, c'est que tout n'est pas noir ou blanc. 
Brunetti doit parfois composer avec des puissances qui le dépasse et son beau-père homme d'affaires influent fait un bon intermédiaire avec la mafia dès qu'il est question d'une affaire un peu louche.
Cela permet à Donna Leon de varier les milieux tout en donnant accès à son héros à des informations qu'il ne devrait pas avoir.

L’enquête ensuite est bien construite, il y a beaucoup de personnages mais on en connait une bonne partie découverte dans le premier roman de la série.
Et c'est aussi ce qui fait l'intérêt d'une série.
Les individualités se construisent au fur et à mesure et on découvre chaque fois de nouvelles facettes pour chacun.
Les enfants de Brunetti ne font que passer, contrairement à Paola qui se dévoile un peu.
J'aime beaucoup ce personnage, pilier du commissaire qui l'aide souvent à démêler des enquêtes ou à prendre des décisions.
Un peu comme Madame Maigret en somme, mais en plus moderne.

Par contre, si Madame Maigret ne manque jamais de préparer de bons petits plats à son mari, j'ai un peu manqué de cuisine italienne dans ce roman.
Je n'ai pas retrouvé les évocations de plats de pâtes ou de risotto fumants qui me paraissent si dépaysants d'habitude.
Il faut dire que Brunetti n'est pas souvent chez lui dans cette histoire mais c'est un des petits détails de la série qui me plaisent beaucoup.
Espérons que dans le troisième tome il y aura davantage de diner et de déjeuner !

Malgré ce manque de pasta, je lirai le 3e très bientôt et si vous ne connaissez pas encore Guido Brunetti, jetez-vous sur Mort à la Fenice !






dimanche 11 octobre 2015

♨ Il vero risotto italiano !! ♨

Senza crema !!!

Eh oui, une petite affirmation sans discussion pour commencer ce billet culinaire !
Le risotto à l'italienne, le "vrai" risotto se prépare sans cette crème fraiche qui fait mon bonheur partout ailleurs (je suis Normande, on ne se refait pas).
Je vous le dit sans ambages, aucun risotto avec crème ne passera chez moi !!




Bon, trêve de revendication, revenons à nos moutons.

Aujourd'hui, je vous propose donc une petite recette encore une fois très très simple qui ira très bien avec la panna cotta de la semaine dernière, j'ai nommé le RISOTTO !!

Si vous vous promenez en Italie, et notamment en Toscane, vous serez peut-être surpris de voir des rizières s'étendre par petites tâches vertes inondées d'eau dans la campagne vallonée.
J'ai souvenir, aux alentours de Sienne, de ces étendues d'eau qui semblent soudain tellement étonnantes.
Et pourtant, il y a une longue tradition de culture du riz dans ces régions, ce qui explique l'origine de ce plat qui remonterait officiellement au 19e siècle mais serait l'adaptation d'un plat de paysans.




On peut ensuite préparer le risotto sous des versions très différentes : au safran, à la sauce tomate, aux petits pois frais (j'adore), au parmesan ou comme aujourd'hui aux champignons.
Le principe du risotto est ensuite archi simple : prendre son temps !
Pour faire un risotto, il faut s'y prendre à l'avance et avoir la patience de baigner le riz au fur et à mesure sans se presser.
C'est ainsi que vous pourrez vous passer de crème.


Pour 4 personnes :

  • 200g de champignons émincés 
  • du beurre pour la cuisson des champignons (et du persil en saison)
  • un bouillon cube de volaille dégraissée (du vrai c'est mieux)
  • huile d'olive
  • 1 oignon haché
  • 275 g de riz arborio (ou autre riz pour risotto) *
  • 10 cl de vin blanc **
  • Parmesan rapé
  • sel et poivre

Faire revenir les champignons et le persil dans le fond d'une grande sauteuse avec le beurre.
Après quelques minutes, mettre les champignons dans un récipient en attente.
Dans la même casserole sans la nettoyer, mettre un filet d'huile d'olive et faire revenir les petits morceaux d'oignons.
Ajouter le riz en remuant bien pendant 2 minutes pour l'enrober d'huile.
Ajouter le vin et mélanger jusqu'à évaporation.
Ajouter ensuite les champignons.
Préparer 150 cl de bouillon (eau bouillante + bouillon cube), prendre une louche et ajouter une louche sur le riz, remuer jusqu'à absorption, remettre une louche, remuer jusqu'à absorption et ainsi de suite jusqu'à la cuisson complète du riz.
Saupoudrer de parmesan, saler et poivrer, servir.

Voilà, c'est fini !




Nous, on l'a mangé avec un assortiment de jambon sec italien, de la bressaola (j'adore) et de la mortadelle.
On s'est régalé.


* si vous n'avez pas de riz à risotto, il y a des chances que vous n'arriviez jamais à faire un risotto. Désolée. 
** l'alcool s'évapore à la cuisson il parait. En tout cas, en Italie, ça ne gêne personne ! 






Et je vous laisse avec une version magnifique de ce grand classique 
qui met la pêche le dimanche soir ^-^














Un giro a... Genova !

Aujourd'hui, je vous emmène à Gênes pour une promenade très différente.
Alors que Turin reflétait les aménagements des 18 et 19e siècle, et plus tard de Mussolini, Gênes au contraire conserve un très beau quartier ancien qui côtoie les grandes avenues du 17e siècle.




De France, c'est très facile d'accès.
En longeant la côte, il faut deux heures pour rallier cette ville vraiment surprenante qui se découvre à pied.
Lors de notre séjour, nous avons découvert la circulation à l'italienne, les petites ruelles étroites où tu crois que ta voiture ne passera jamais, les échafaudages qui s'appuient sur les façades opposées des rues tant elles sont étroites...
Notre hôtel se situait dans le coeur historique et nous avons aussi découvert les hôtels qui occupent seulement quelques étages dans un immeuble d'habitation.
Je me souviens encore de la vue de notre fenêtre sur une ruelle sombre, et de cette terrasse ensoleillée qu'on apercevait un peu plus loin, comme une promesse de douceur, de jardin suspendu et de farniente.




J'ai passé quelques jours à Gênes et je connais beaucoup moins que Turin, mais j'en garde une image éblouie.
Les deux quartiers principaux de la ville reflètent vraiment son histoire, et les amateurs seront ravis.
On raconte parfois que la peste est arrivée par Gênes en Europe.
La raison en est simple, c'était un très gros port de commerce.
La vieille ville s'ouvre donc sur le port, trop moderne aujourd'hui et à l'époque coupé par une autoroute suspendue qui a disparue il me semble.




Dès le port, vous serez charmé par les palais et les jardins qui ont été restaurés et présentent des façades colorées magnifiques.
Quand on a le temps de les visiter, on a l'impression d'entrer dans la vie des doges et des aristocrates italiens des siècles qui nous ont précédés.
Certains palais sont encore meublés à l'identique, et c'est souvent superbe.




Derrière les palais et les rues couvertes du port, vous pourrez entrer dans les ruelles moyenâgeuses qu'on appellent aussi "vicoli" (petite rue en italien).
De nombreux cafés vous permettront de goûter un tramezzino, un panino, ou de commander un café serré au bar.
J'ai souvenir d'avoir gouté ici mon premier sandwich à l'omelette !




Le quartier ancien est entouré de murailles dans certaines parties.
Quand on est entré par le port et qu'on découvre ces tours et ces murs, c'est impressionnant et ça marque vraiment la différence entre les deux quartiers.




Vous pourrez aussi voir cette église, le duomo San Lorenzo, beau spécimen de l'art piémontais avec cette façade bicolore.
Mais beaucoup d'autres églises, petites ou grandes, vous surprendront dans la ville.




L'une des attractions de la ville, c'est aussi la maison natale de Christopher Colomb !
Nous avons découvert pendant notre voyage qu'il était génois, alors qu'on le pensait espagnol.
C'est une gloire locale dont vous entendrez certainement parlé.




Si vous voyagez avec des enfants, l'aquarium situé sur le port pourra aussi constituer un temps fort de votre visite.
Et l'avantage de Gênes au printemps ou en été, c'est aussi la proximité de très beaux petits villages de bord de mer aux maisons très colorées qui miroitent sous le soleil.

Bon voyage !






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