Oups ! Mon article ne s'est pas publié hier !
C'est donc avec un jour de retard que je vous parle de PEUR !
Le thème choisi cette semaine pour l'ameGraphique du Petit Carré jaune, c'est le mot "peur".
J'aurais pu vous parler de cette peur viscérale qui m'habite depuis que je suis maman, de ces pensées qui m'assaillent parfois en me demandant ce que l'avenir lui réserve, mais je vais plutôt vous parler d'une autre peur, celle qui vient de mon enfance et sera plus facile à illustrer.
Quand j'étais petite, en Corse, un incendie a ravagé le club de vacances où nous séjournions chaque année (jusque là).
Il a fallut se réfugier dans la mer, avec les hélicoptères des pompiers qui passaient au dessus et nous donnaient des instructions.
Et puis il a fallut fuir le feu qui progressait juste derrière nous, les arbres qui tombaient...
Je pensais avoir digéré tout ça en grandissant et il y a quelques années, pendant des vacances au Cambodge, il a aussi fallut quitter un lieu de visite assez rapidement car le feu avait pris dans un champ juste à coté et s'approchait à grande vitesse.
J'ai été littéralement prise d'une crise de panique, de celles qui ne vous laissent pas de prise sur le réel, de celles où seule une bonne claque pourrait vous faire revenir à la raison.
Et j'ai compris que le feu, pour moi, serait toujours une chose effrayante.
C'est donc avec un jour de retard que je vous parle de PEUR !
Le thème choisi cette semaine pour l'ameGraphique du Petit Carré jaune, c'est le mot "peur".
J'aurais pu vous parler de cette peur viscérale qui m'habite depuis que je suis maman, de ces pensées qui m'assaillent parfois en me demandant ce que l'avenir lui réserve, mais je vais plutôt vous parler d'une autre peur, celle qui vient de mon enfance et sera plus facile à illustrer.
Quand j'étais petite, en Corse, un incendie a ravagé le club de vacances où nous séjournions chaque année (jusque là).
Il a fallut se réfugier dans la mer, avec les hélicoptères des pompiers qui passaient au dessus et nous donnaient des instructions.
Et puis il a fallut fuir le feu qui progressait juste derrière nous, les arbres qui tombaient...
Je pensais avoir digéré tout ça en grandissant et il y a quelques années, pendant des vacances au Cambodge, il a aussi fallut quitter un lieu de visite assez rapidement car le feu avait pris dans un champ juste à coté et s'approchait à grande vitesse.
J'ai été littéralement prise d'une crise de panique, de celles qui ne vous laissent pas de prise sur le réel, de celles où seule une bonne claque pourrait vous faire revenir à la raison.
Et j'ai compris que le feu, pour moi, serait toujours une chose effrayante.
Et pour conclure, je précise que chez moi, il n'y a pas de radiateur éléctrique mais...
un poêle à bois !