Je vous l'ai déjà dit, la vie d'enseignant chercheur universitaire n'est pas de tout repos.
Alors que je croyais être en semi vacances, ayant achevé le premier semestre de cours, je suis finalement encore plus occupée qu'auparavant, avec un projet de recherche à rédiger en urgence pour obtenir quelques sous.
Les choses ont bien changées depuis que je me suis engagée dans cette voie en tant que petite étudiante de DEA.
Il n'est plus question aujourd'hui d'acheter du matériel quand on en a envie, ou de se balader en Europe pour un recueil de corpus.
Désormais, les financements tombent sur projet et il faut sacrément argumenter pour obtenir quelque chose.
Mais bon, honnêtement, cela ne me dérange pas plus que cela.
J'ai un but, je suis obligée de mettre de l'ordre dans mes idées, et de choisir une direction.
Cela m'impose un champ de recherche, ce qui est vraiment bien pour quelqu'un comme moi qui papillonne pas mal.
Ce qui me dérange, par contre, c'est de devoir élaborer un dossier financier Oo.
Je ne suis pas comptable, voyez-vous, et je ne sais pas évaluer une marge brut et une marge indicielle, distinguer les fonds propres et les fonds externes, établir le coût salarial de la participation d'un chercheur... On ne m'a pas formé pour cela (et pourtant, on m'a montré beaucoup de choses pendant ma formation).
Je perds donc beaucoup de temps et j'enrage un peu face à des tableaux qui me parlent autant qu'un roman en chinois ou en russe.
Pour me consoler, j'ai cédé à la tentation cette semaine et je peux désormais écouter Benjamin Biolay en boucle (dans mon casque, mon homme a un peu du mal sur le long terme).
Il faut aimer, je vous l'accorde, mais les textes comme les musiques me plaisent autant que dans l'album précédent.
Je vous laisse donc avec une petite chanson ^-^
Alors que je croyais être en semi vacances, ayant achevé le premier semestre de cours, je suis finalement encore plus occupée qu'auparavant, avec un projet de recherche à rédiger en urgence pour obtenir quelques sous.
Les choses ont bien changées depuis que je me suis engagée dans cette voie en tant que petite étudiante de DEA.
Il n'est plus question aujourd'hui d'acheter du matériel quand on en a envie, ou de se balader en Europe pour un recueil de corpus.
Désormais, les financements tombent sur projet et il faut sacrément argumenter pour obtenir quelque chose.
Mais bon, honnêtement, cela ne me dérange pas plus que cela.
J'ai un but, je suis obligée de mettre de l'ordre dans mes idées, et de choisir une direction.
Cela m'impose un champ de recherche, ce qui est vraiment bien pour quelqu'un comme moi qui papillonne pas mal.
Ce qui me dérange, par contre, c'est de devoir élaborer un dossier financier Oo.
Je ne suis pas comptable, voyez-vous, et je ne sais pas évaluer une marge brut et une marge indicielle, distinguer les fonds propres et les fonds externes, établir le coût salarial de la participation d'un chercheur... On ne m'a pas formé pour cela (et pourtant, on m'a montré beaucoup de choses pendant ma formation).
Je perds donc beaucoup de temps et j'enrage un peu face à des tableaux qui me parlent autant qu'un roman en chinois ou en russe.
Pour me consoler, j'ai cédé à la tentation cette semaine et je peux désormais écouter Benjamin Biolay en boucle (dans mon casque, mon homme a un peu du mal sur le long terme).
Il faut aimer, je vous l'accorde, mais les textes comme les musiques me plaisent autant que dans l'album précédent.
Je vous laisse donc avec une petite chanson ^-^