En ce lundi, Chrys et Zaza nous proposent un nouveau thème : le jeu sous toutes ses formes, le jeu d'enfant, les jeux de société, les jeux de lettres, de chiffres...
J'ai donc farfouillé dans ma bibliothèque de photos et j'en ai trouvé quelques unes qui m'ont bien plu.
Depuis 2005, nous sommes allés trois fois au Cambodge.
La première année, le pays était encore traversé de luttes armées, de voisins qui se jugeaient spolier et sortaient les armes pour défendre leurs terres, et d'enfants qui, bien sûr, n'allaient pas à l'école. En 2005, il n'y avait même pas d'instituteur pour ces enfants, et l'uniforme aurait coûté beaucoup trop cher à des parents qui n'avaient pas de quoi acheter du riz.
Il n'était donc pas question de jouer.
En 2008, les temples d'Angkor ont vu 2 millions de visiteurs. Au moins dans cette région, passées 9 heures du matin, les enfants ne vendaient plus de cartes postales... ils étaient à l'école.
En 2010, les enfants du Cambodge étaient 70 % à aller à l'école. Parfois, ils y vont à mi temps parce que la formation des enseignants prend du temps et qu'il n'y en a pas encore assez pour tout le pays. Les uns y vont le matin, et les autres l'après-midi. Cela peut aussi soulager les familles qui n'achètent qu'un uniforme pour deux enfants. Mais surtout, les enfants du Cambodge mendient beaucoup moins. Ils mangent et même si beaucoup d'entre eux doivent encore aller aux champs, c'est encourageant.
De nombreux enfants sont aussi placés dans des orphelinats. Ils ont une famille, mais pourront ainsi manger et étudier en sécurité.
Voici l'un de ces orphelinats. Si vous allez un jour visiter les temples d'Angkor, n'oubliez pas la House of Peace association, sur la route de l'aéroport, qui vend de magnifiques marionnettes de théâtre d'ombre et permet de scolariser plusieurs centaines d'enfants pauvres chaque année.
J'ai donc farfouillé dans ma bibliothèque de photos et j'en ai trouvé quelques unes qui m'ont bien plu.
Depuis 2005, nous sommes allés trois fois au Cambodge.
La première année, le pays était encore traversé de luttes armées, de voisins qui se jugeaient spolier et sortaient les armes pour défendre leurs terres, et d'enfants qui, bien sûr, n'allaient pas à l'école. En 2005, il n'y avait même pas d'instituteur pour ces enfants, et l'uniforme aurait coûté beaucoup trop cher à des parents qui n'avaient pas de quoi acheter du riz.
Il n'était donc pas question de jouer.
En 2008, les temples d'Angkor ont vu 2 millions de visiteurs. Au moins dans cette région, passées 9 heures du matin, les enfants ne vendaient plus de cartes postales... ils étaient à l'école.
En 2010, les enfants du Cambodge étaient 70 % à aller à l'école. Parfois, ils y vont à mi temps parce que la formation des enseignants prend du temps et qu'il n'y en a pas encore assez pour tout le pays. Les uns y vont le matin, et les autres l'après-midi. Cela peut aussi soulager les familles qui n'achètent qu'un uniforme pour deux enfants. Mais surtout, les enfants du Cambodge mendient beaucoup moins. Ils mangent et même si beaucoup d'entre eux doivent encore aller aux champs, c'est encourageant.
De nombreux enfants sont aussi placés dans des orphelinats. Ils ont une famille, mais pourront ainsi manger et étudier en sécurité.
Voici l'un de ces orphelinats. Si vous allez un jour visiter les temples d'Angkor, n'oubliez pas la House of Peace association, sur la route de l'aéroport, qui vend de magnifiques marionnettes de théâtre d'ombre et permet de scolariser plusieurs centaines d'enfants pauvres chaque année.
Les garçons jouent au football, quand les petites filles jouent à cache cache.
Dans les temples, les enfants jouent parfois aux jeux des grands,
mais la plupart du temps, ce n'est pas un jeu...
Et parfois, une petite jeune fille sage attend seulement que sa mère ait fini de travailler,
comme tous les enfants du monde occidental.
Mais quelque soit cet enfant du monde occidental,
il n'aura jamais un aussi beau cadre pour jouer...