Vous avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ lu des avis sur ce livre.
On l'a beaucoup vu depuis sa sortie et les blogs l'ont pas mal relayé.
J'étais donc contente de le voir dans la sélection du Prix Audiolib, ayant vraiment trÚs envie de le lire.
J'allais à l'église quand j'étais petite, j'avais des livres sur la vie de quelques saints et cela me rappelait un peu cette période.
Malheureusement, cela n'a pas été le coup de foudre attendu.
Bakhita ne sait plus son nom.
EnlevĂ©e prĂšs de son village, elle ne sait plus comment sa mĂšre l'appelait, elle a perdu la mĂ©moire de ce temps oĂč elle pouvait trouver refuge dans ses bras.
Sa sĆur ainĂ©e aussi a Ă©tĂ© enlevĂ©e.
Les razzias sont si nombreuses qu'aucun village n'est épargné et quand on aperçoit un enfant seul, il est si facile de l'enlever pour se faire un peu d'argent.
On l'emmÚne alors à travers le désert pour le vendre et le livrer à des maitres qui auront tout pouvoir...
Et Bakhita va passer d'un maitre à l'autre, jamais libre, jamais vraiment libérée.
Elle va voir du pays, raconter ses mémoires, devenir religieuse.
La violence de la premiĂšre partie est parfois insoutenable pour s'apaiser un peu Ă la fin du livre mais elle couve toujours.
Et Véronique Olmi nous raconte cette vie si particuliÚre avec des mots qui n'épargnent pas.
Pour ce livre, je ne vais pas faire de commentaire séparé de la version audio parce que je crois que mon avis sur le roman est lié à l'interprétation plutÎt qu'au texte.
Je ne suis que trĂšs rarement conquise par les livres audios oĂč l'auteur lit le texte.
Cela me surprend moi-mĂȘme parce qu'on imagine aisĂ©ment que l'auteur saura mettre son texte en voix, qu'il l'a entendu dans sa tĂȘte en l'Ă©crivant.
Mais la lecture expressive, c'est le métier du comédien, pas de l'auteur !
Un comédien sait trouver le rythme qui convient au texte, il donne un ton sans en faire trop, et quand la lecture est réussie, il laisse une part d'interprétation au lecteur qui écoute.
En gros, si le personnage crie, il ne crie pas mais lit l'indication "il crie".
Et lĂ , c'est trĂšs loin de tout cela.
Véronique Olmi a un rythme de lecture assez lent, et trop expressif.
Elle ne laisse pas de place au lecteur (ce qui se comprend, c'est l'auteur).
Il y avait des passages sans doute captivants oĂč mon attention dĂ©crochait avec un soupir tant j'aurais aimĂ© qu'elle aille plus vite.
Et je me suis lassée.
Certains chapitres m'ont paru de trop, c'est trĂšs long.
Ăcouter est devenue un mauvais moment tel que je n'avais plus envie.
J'ai terminé le roman en version numérique, lue avec les yeux parce que j'avais envie de terminer, mais pour avoir un avis sur ce livre, je vous conseille de lire plutÎt des billets de lecteurs ou de lectrices qui ont aimé (ou pas d'ailleurs).
J'ai été trop dérangée par la lecture de l'auteur pour vraiment savoir ce que je pense du texte.
On l'a beaucoup vu depuis sa sortie et les blogs l'ont pas mal relayé.
J'étais donc contente de le voir dans la sélection du Prix Audiolib, ayant vraiment trÚs envie de le lire.
J'allais à l'église quand j'étais petite, j'avais des livres sur la vie de quelques saints et cela me rappelait un peu cette période.
Malheureusement, cela n'a pas été le coup de foudre attendu.
Bakhita ne sait plus son nom.
EnlevĂ©e prĂšs de son village, elle ne sait plus comment sa mĂšre l'appelait, elle a perdu la mĂ©moire de ce temps oĂč elle pouvait trouver refuge dans ses bras.
Sa sĆur ainĂ©e aussi a Ă©tĂ© enlevĂ©e.
Les razzias sont si nombreuses qu'aucun village n'est épargné et quand on aperçoit un enfant seul, il est si facile de l'enlever pour se faire un peu d'argent.
On l'emmÚne alors à travers le désert pour le vendre et le livrer à des maitres qui auront tout pouvoir...
Et Bakhita va passer d'un maitre à l'autre, jamais libre, jamais vraiment libérée.
Elle va voir du pays, raconter ses mémoires, devenir religieuse.
La violence de la premiĂšre partie est parfois insoutenable pour s'apaiser un peu Ă la fin du livre mais elle couve toujours.
Et Véronique Olmi nous raconte cette vie si particuliÚre avec des mots qui n'épargnent pas.

Je ne suis que trĂšs rarement conquise par les livres audios oĂč l'auteur lit le texte.
Cela me surprend moi-mĂȘme parce qu'on imagine aisĂ©ment que l'auteur saura mettre son texte en voix, qu'il l'a entendu dans sa tĂȘte en l'Ă©crivant.
Mais la lecture expressive, c'est le métier du comédien, pas de l'auteur !
Un comédien sait trouver le rythme qui convient au texte, il donne un ton sans en faire trop, et quand la lecture est réussie, il laisse une part d'interprétation au lecteur qui écoute.
En gros, si le personnage crie, il ne crie pas mais lit l'indication "il crie".
Et lĂ , c'est trĂšs loin de tout cela.
Véronique Olmi a un rythme de lecture assez lent, et trop expressif.
Elle ne laisse pas de place au lecteur (ce qui se comprend, c'est l'auteur).
Il y avait des passages sans doute captivants oĂč mon attention dĂ©crochait avec un soupir tant j'aurais aimĂ© qu'elle aille plus vite.
Et je me suis lassée.
Certains chapitres m'ont paru de trop, c'est trĂšs long.
Ăcouter est devenue un mauvais moment tel que je n'avais plus envie.
J'ai terminé le roman en version numérique, lue avec les yeux parce que j'avais envie de terminer, mais pour avoir un avis sur ce livre, je vous conseille de lire plutÎt des billets de lecteurs ou de lectrices qui ont aimé (ou pas d'ailleurs).
J'ai été trop dérangée par la lecture de l'auteur pour vraiment savoir ce que je pense du texte.
Je l'ai d'abord lu dans sa version numérique et j'y avais aussi trouvé des longueurs
RépondreEffacerça me rassure. J'ai lu tant de billets élogieux que je me demandais pourquoi je trouvais cela si long ;^)
EffacerHa mince c'est dommage. Version papier j'ai beaucoup aimé
RépondreEffacerOui, j'ai lu tant d'avis positifs que je ne comprends pas bien ce qu'il s'est passé :^/
EffacerMais quelle idée aussi de lire la version audio sur un livre pareil...:D
RĂ©pondreEffacerBah peut-ĂȘtre en effet. Mais surtout quelle idĂ©e de l'avoir fait lire Ă l'auteure ;^)
EffacerUn coup de coeur en livre un abandon à l'écoute... dommage pour ce titre audio
RépondreEffacerBah voilà , on partage ce ressenti. C'est vraiment dommage.
EffacerJ'ai également trouvé des longueurs, et puis le style de l'auteure ne m'a pas plu.
RĂ©pondreEffacerC'est assez spĂ©cial. Je ne l'avais jamais lu et en version papier, c'est encore plus flagrant, mais elle a un style particulier quand mĂȘme. Parfois je trouve qu'elle en fait trop.
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