lundi 30 novembre 2015

De novembre à décembre...

Novembre s'en va, l'hiver est là et la fin de l'année se profile.
Le ciel s'adapte à la situation et depuis deux semaines, il nous rappelle qu'il peut être bien gris, d'un gris sale, sombre, oppressant.




Novembre ne nous a pas fait de cadeau. 
La fin de l'année sera à l'image de son début. 
Chez nous, les mots "maladie", "hôpital" ou "urgences" ont précédé les mots "attentat", "disparu" et "enterrement". 




J'ai découvert aussi que Julien Doré, c'est globalement beaucoup plus triste que Benjamin Biolay. 
Enfin si vous ne sélectionnez pas les chansons les plus gais, mais il n'y en a pas beaucoup. 
ça a l'air primesautier comme ça, mais en fait pas du tout ! 
Et pourtant, Biolay, ce n'est déjà pas super gai !




J'ai aussi très peu lu, ou en tout cas pas des romans. 
J'ai lu un livre magnifique sur les émotions de l'élève dans la classe que tous les enseignants (et leurs formateurs) devraient lire. 
J'ai assisté à un colloque merveilleux où la bienveillance régnait dans les propos comme dans les comportements de (presque) tous les intervenants. 
Et j'ai lu des copies, beaucoup de copies, des moyennes et quelques très bonnes en notant avec de jolis tampons que mes étudiants ont adorés.




Je ne suis même pas encore arrivée au bout du Guépard de Lampedusa (et pourtant j'aime beaucoup), ni d'Animarex de Kervéan.
Par contre, j'ai fini l'Ecorché de Carrisi, et c'était vraiment pas mal. 
C'est le problème quand on lit plusieurs livres en même temps, ça n'avance pas vite et parfois on finit tout d'un seul coup !




Une fois n'est pas coutume, le délicat ouvrage du choix des cadeaux de Noël est presque terminé, cadeaux qui resteront en partie au chaud jusqu'en janvier d'ailleurs, faute de famille présente le jour J. 
Mais cela nous donnera l'impression de vivre à l'espagnole où ce sont les rois mages qui apportent les cadeaux au début du mois de janvier.
Et puisque je n'ai rien eu à mon anniversaire, j'ai pris soin d'envoyer des listes d'idées à toute ma famille !




Il faut dire aussi que le coeur n'y est pas, et si je faisais d'ordinaire de grandes "balades" dans les magasins parisiens pour y dénicher LE cadeau, je manque de motivation et surtout de confiance pour sortir de mon bureau et de mon circuit habituel pour rentrer du bureau. 
(oui, je sais, il faut continuer à vivre sinon ce sont les méchants qui gagnent et blablabla, mais moi, j'ai peur, c'est comme ça.)
Pour se remonter le moral, je distribue des chocolats à mes étudiants.




Une petite accalmie temporaire dans la frénésie du travail m'a permis de remettre un peu d'ordre chez moi.
Il me reste trois semaines pour que ma maison soit propre et rangé pour les fêtes et ce n'est pas une mince affaire.
Je suis aussi dans une période de "débarrassage".
Je n'ai pas lu le livre de la Japonaise dont tout le monde parle depuis quelques mois, mais je suis d'accord avec elle, il faut évacuer parfois.
Le bilan de ce dernier weekend de novembre : 4 sacs poubelles de 100 l de bazar qui partent à la déchetterie !
Mais j'ai de l'aide pour le ménage ^-^




J'ai aussi publié ma 1000e photo sur Instagram !
C'est addictif !




dimanche 29 novembre 2015

10 livres de cuisine à mettre sous le sapin !! { idée cadeaux de Noël }

Pas de recette aujourd'hui !
Je n'ai pas eu le temps de cuisiner mais j'ai fait un petit tour dans ma librairie préférée et j'ai repéré de chouettes livres à mettre sur vos listes de cadeau.
Je me suis dit que ce serait pas mal de partager et peut-être que vous en connaissez d'autres ^-^


J'en ai choisi 10 mais c'est illimité !
(enfin finalement, il y en a 11 !)



  • Un Jamie Oliver


Il y a bien longtemps que j'ai envie de m'offrir un livre de cuisine de Jamie Oliver.
Certains sont très originaux, d'autres un peu moins mais plus accessibles.
Je demanderais bien 15 minutes, ou Comfort food.





  • Simplissime 


Celui-là me fait furieusement envie !
Il contient des recettes simples et efficaces, avec peu d'ingrédients et qui vous permettront de changer les menus habituels.
C'est un pavé, mais cela veut aussi dire qu'il contient plein de recettes.




  • Les (nouvelles) recettes de la super supérette

J'ai eu le livre avec les nouvelles recettes l'an dernier et j'adore !
Il revisite les vieilles recettes de nos gouters d'enfance et de la cantine, mais en bien meilleur !
Il y a plein de belles recettes comme les Dinosaurus, les nuggets de poulet, et même des chips.
Le premier volume me tente énormément.





  • La petite épicerie du fait maison
Dans le même esprit, la petite épicerie du fait maison propose aussi des recettes industrielles revisitées.
Des petits beurres, des speculoos, des yaourts à boire... tout pour se régaler !




  • Les recettes cultes de New York 

Evidemment, pour celui-ci, il faut aimer la cuisine américaine, et notamment les gâteaux qu'on mange dans les coffee shop.
Si cela vous plait, vous trouverez ici des idées de brunch, de cheesecake, de brownies, de muffins...
Nous on adore et il me fait vraiment très envie !




  • Gâteaux de mamie

Celui-là on l'a déjà et c'est un incontournable de ma cuisine.
Il sort très très souvent de son étagère.
J'ai une vieille édition, avec juste des photos et celui-là a l'air plus joli, mais les recettes sont les mêmes, toutes très efficaces et inratables !!





  • Je réussis mes pains, yaourts, fromages... sans machine ! 

Pour celles et ceux qui n'ont pas de place, pas envie de s'encombrer avec des machines dans ses placards, ou juste envie de faire avec ses petites mains, ce livre est parfait.
J'en ai déjà parlé quand j'avais fait cette mémorable pizza et il faudra que je fasse un billet dessus parce qu'il est vraiment parfait.



  • J'apprends à cuisiner


On n'oublie pas les enfants, avec ce livre dont je vous ai déjà parler ici.
Je suis retombé dessus à la librairie et je le trouve vraiment parfait.
D'ailleurs, je l'ai déjà offert deux fois.





  • Apéros faciles


Je termine avec une de mes grandes passions : les biscuits apéros !
J'ai déjà feuilleté plusieurs livres de recettes, mais ce n'est jamais très varié ou très original.
Celui-ci me parait plutôt bien.
Si vous en connaissez un bon, par contre, je suis intéressée ^-^






Il y aura des livres de cuisine sous le sapin chez vous  ? 
Ou d'autres livres ? 




samedi 28 novembre 2015

Un jeu pour tout petit : Formes et couleurs { idée cadeaux pour Noël }

Je ne sais pas si vous êtes plus doués que moi, mais pour les cadeaux des tout petits, je sèche souvent. 
J'ai du mal à savoir ce qui va leur plaire, les intéresser ou ce qui va correspondre à ce qu'ils sont capables de faire.
Du coup, j'essaie de trouver des jouets évolutifs, qui vont pouvoir servir plusieurs années.
Si je ne vise pas parfaitement bien, le jeu pourra servir à autre chose en attendant.
Evidemment, j'aime bien aussi les jeux un peu éducatifs, où les enfants apprennent des choses.




Et j'ai découvert Haba !
Je crois que je suis devenue fan d'une nouvelle marque de jeu.
En me promenant sur le site de la marque, j'avais envie de tout.
Il faut dire que ces jeux sont beaux, avec des pièces en bois, et sont évolutifs, éducatifs et intelligents.
Je louche par exemple sur "le premier Verger" ou "la Première pêche" qui seront parfaits dans quelques mois (et je vous en reparlerai l'an prochain ^-^).




Mais avant de pouvoir jouer avec de "vrais" jeux, il faut apprendre ce qu'est une règle du jeu et à respecter les règles.
C'est pour cela qu'Haba propose une gamme de "premiers jeux" qui vont permettre ces apprentissages pour les tout petits.

Comme on m'a proposé l'un de ces jeux, je me suis penché sur leurs contenus et nous avons reçu le jeu "Formes et couleurs" qui me paraissait le plus adapté aux 19 mois de ma minette.
Et je peux vous dire qu'il est parfaitement adapté tellement il sert à la maison !
Je crois qu'il n'y a pas une journée sans qu'il soit utilisé !




Dans la boite, vous trouverez trois plateaux double face, une série de pions, deux dés, et un petit livret avec des règles du jeu.
Vous pouvez choisir le type de jeu parmi ceux qui sont proposés.
Les plateaux avec les papillons permettent d'apprendre les formes et les couleurs en les utilisant comme des puzzles à encastrement.
En ajoutant l'utilisation des dés, on apprend à respecter la règle du jeu, à utiliser le dés et à alterner les tours.




En fonction de la forme qui apparait sur le dés, vous devez placer sur le plateau la pièce qui correspond si elle est encore disponible.
Le premier qui a terminé a gagné.
De l'autre coté du plateau, on joue avec les couleurs et l'autre dés.
Mais on peut imaginer d'autres règles, et c'est l'une des grandes qualités du jeu.
Pour le moment, ma crêpe Suzette joue seule aux puzzles et s'amuse à choisir les pièces de la même couleur.
Elle apprend aussi à lancer les dés et à associer la couleur qui apparait à la couleur des pièces.
C'est très amusant de la voir faire et les jours passant, elle est de plus en plus attentive.





C'est donc un jeu parfait à partir de 18 mois qui pourra être utilisé longtemps sans lasser les enfants puisque les possibilités évoluent en même temps que l'enfant.
Et si les enfants que vous voulez gâter sont plus grands, il y aura sans doute un autre jeu qui pourra leur convenir !






Ce jeu nous a tellement plu qu'il y aura ma première pêche sous le sapin ! 



(il est absolument génial aussi !)

Et chez vous, il y a des jeux Haba ?
Il y en aura sous le sapin ?


Produit offert 
(mais vraiment très apprécié)




mercredi 25 novembre 2015

Le goût des pépins de pomme de Katharina Hagena

Ces derniers temps, j'ai lu et puis j'ai oublié de vous en parler.
Peut-être même ai-je oublié les romans que j'ai lu en fait.
Ce n'est pas très bon signe, mais cela ne veut pas dire que ces romans étaient mauvais.
D'ailleurs, quand je me suis aperçue que j'avais oublié d'écrire plusieurs billets, ce roman m'est revenu tout de suite.
Il aurait donc été dommage de ne pas vous en parler.

Pour l'enterrement de sa grand-mère, Iris revient dans le village où elle a passé de nombreuses vacances dans son enfance.
Le souvenir des pommiers en fleurs, sa cousine Rosemarie et son amie Mira semblent hanter les lieux et elle ne souhaite pas s'attarder.
Mais à l'ouverture du testament, elle apprend que sa grand-mère lui a légué la maison de la famille.
Un peu déboussolée, Iris reste quelques jours pour prendre une décision.
Garder ou non la maison n'est pas un choix facile et ses souvenirs vont en profiter pour remonter un à un...

Je dois avouer que j'ai passé un bon moment dans ce roman.
Quand je voyage, j'aime bien que ma lecture "colle" à ma destination.
Comme j'allais à Berlin en septembre dernier, j'ai extrait Le Goût des pépins de pommes parmi les quelques romans allemands qui y séjournent.
C'était une bonne occasion, parce que j'ai lu des billets mitigés sur ce livre et j'hésitais à le lire.
Et puis finalement, c'était plutôt sympa.

Ce livre est à classer dans les petits romans feel good.
Avec une structure simple, il raconte comment Iris remonte le fil de ses souvenirs pour accepter ceux qu'elle a refoulé et découvre en même temps de petites informations sur sa famille.
Elle se remémore sa grand-mère et les mois d'été passés dans la grande maison de la campagne allemande, les sorties en vélo, les bêtises de gamines et les moments doux.
Le secret de famille annoncé sur la quatrième de couverture n'est pas là où on croit et n'est sans doute pas vraiment un secret, mais ce n'est pas le plus important.
C'est un roman des petites choses, des petits détails, des ressentis.
L'auteur dit parfois des choses très dures avec des mots doux qui passent presque inaperçus pour le lecteur.
Roman des petites choses, des petits détails, un rien est signifiant et évoque un souvenir.
Les images sont faites de ces petits détails qui composent un tableau très visuel du souvenir d'Iris.
Le résultat est très doux et bien qu'il y ait parfois des scènes très particulières (Bertha la grand-mère boit de l'alcool avec ses petites filles de 12 et 13 ans !), on y retrouve un parfum d'enfance enfuie et de vacances d'été.

Le défaut de cette structure simple, c'est tout de même aussi de ne pas donner beaucoup d'informations sur les personnages secondaires dont beaucoup sont simplement effleurés.
C'est sans doute ce qui donne cette impression de douceur mais rend aussi le roman un peu superficiel, et on a du mal à voir vraiment les personnages évoluer ou les sentiments se former.
C'est donc plutôt une histoire du dévoilement qui fait apparaitre ce qu'il y a au fond de chacun depuis toujours plutôt que l'arrivé de quelque chose de nouveau.

Cela reste néanmoins un roman très sympa à lire.
Il vous permettra de passer un bon moment, de faire une pause au calme de ses pages et de vous plonger dans la campagne chaude de l'été.
Parfait pour un voyage en Allemagne, il sera très bien aussi sous un plaid en hiver ou sous un pommier en été !

Et une petite citation pour finir :

"Les histoires que l'on me racontait étaient-elles plus vraies que celles que je fabriquais moi-même à partir de souvenirs épars, de suppositions et de choses apprises en écoutant aux portes ? Les histoires inventées devenaient parfois vraies au fur et à mesure, et nombre d'histoires inventaient la vérité."




lundi 23 novembre 2015

Paris

© Julien Ribot
Souffler, emplir ses poumons, retrouver l'air qui me fait défaut dans tes rues, sentir un poids qui s'éloigne quand je te quitte. 
Paris tu m'oppresses, tu m'effraie, tu m'enserre dans un étau de peur qui alourdit mes pas, qui s'accroche à mon cou, qui me tire vers le bas. 
Je voudrais retrouver cette légèreté perdue, ce souffle de vie permanent qui parfois me fatigue, ce bruit, ce mouvement, ces humeurs et ces emportements qui font les parisiens. 
Je voudrais que ce silence cesse, que les conversations reprennent, que l'on cesse même de se regarder avec un petit sourire qui dit tout notre amour et notre soutien, parce qu'il dit aussi la blessure et la peine, la peur et le combat. 
Je voudrais pouvoir me dire "je n'ai plus peur" et y croire. 
Je voudrais partir en paix chaque matin de chez moi en pensant simplement que mes étudiants vont encore dormir en cours, en me demandant qui sera là pour le déjeuner, si le soleil va nous accompagner aujourd'hui, quelle balade je pourrais faire en rentrant du bureau...
Je voudrais recommencer à râler et pester après tout et rien. 
Je voudrais cesser de regarder autour de moi en cherchant d'où va venir la prochaine menace. 
Je voudrais vivre. 
On ne sait pas ce qu'on perd dit le proverbe, jusqu'à ce qu'on l'ait perdu, et l'insouciance est de ces possessions qu'on affirme volontiers ne pas posséder jusqu'à ce qu'on nous la vole. 
Il n'est plus temps alors de la regretter, elle reviendra plus tard, quand le vent aura emporté les nuages, quand on s'autorisera à nouveau à respirer, quand ce qui pèse s'allègera et nous rendra le souffle. 
Mais en attendant, il faut vivre et peut-être vivre mieux pour ceux qui ne sont plus, mais surtout pour soi. 
L'insouciance reviendra, sans un mot, elle revient toujours. 
Elle sera d'humeur changeante, on ne la verra pas immédiatement, et puis un jour on s'apercevra qu'elle est là. 
Oh elle fera encore de petites fugues, elle prendra parfois la fuite face à une image, un son, un parfum, elle laissera place à la nostalgie et son cortège, elle rasera les murs pour nous laisser faire notre deuil. 

A toi qui n'est pas Parisien, recommence à nous haïr, nous les prétentieux jamais contents égocentriques exubérants râleurs envahissants beaux parleurs, ça nous rend plus vivants !  
Mais laisse-nous un peu de temps pour digérer et garde une petite place pour un peu de compassion face à ce qui s'est abattu sur certains d'entre nous avec une rage aveugle et nous a si profondément changés. 




En ce lundi, la photo si parisienne choisie par Leiloona m'a menée vers un texte un peu hors sujet mais elle m'a aussi montrée cette petite lumière allumée dans l'obscurité. 
Je ne suis qu'une Parisienne de pacotille, une Parisienne de jour qui vit à la campagne, mais je ressens violemment ce décalage entre deux ressentis lorsque je passe de l'une à l'autre. 
La France est affligée, nous sommes nombreux à être touchés plus ou moins directement, mais je peux vous assurer que Paris n'est plus Paris. 









dimanche 22 novembre 2015

♨ Un tiramisu pour se remonter le moral !! ♨

Il y a plusieurs semaines que j'avais envie de me préparer un petit tiramisu.
Au mois de septembre, avec le mois italien, j'aurais pu me décider, mais je ne pouvais pas manger d'oeufs crus, alors j'ai fait autre chose.
Parce que le problème principal du tiramisu, c'est quand même les oeufs crus.
Aucune cuisson n'est nécessaire pour préparer une telle bombe calorique et gustative, mais justement, parfois, on ne peut pas en manger.

Si ce n'est pas un problème pour vous (Galéa, fuis ce billet), alors n'oubliez pas d'ajouter un gros pot de mascarpone et une boite d'oeufs bio à votre prochaine liste de course !




Mais revenons-en à ce tiramisu. 
Faisons d'abord un petit point sens et prononciation.
Le tiramisu signifie "tire moi vers le haut" (et il y réussit toujours très bien dans mon cas).
En italien, cela donne "tira mi su", le "su" se prononçant comme en français "sous".
Oubliez donc les "zou" et autre "tzou", et laissez couler ce mot tout doucement.




Ensuite, comme je le disais plus haut, c'est un dessert réconfortant, très gras, mais le gras, c'est la vie, non ?
Le mascarpone est réputé pour être un des fromages le plus gras qui existe.
Comme je ne le mange que cuisiné, je ne fais pas partie de ceux qui l'ont banni de leur alimentation.
Je n'en mange pas souvent et je l'aime frais, mais bien cuisiné, cela peut être absolument divin.
Ma recette préférée, c'est la crème de mascarpone avec des fruits frais l'été.
On utilise la même recette que celle du tiramisu pour la crème, et on ajoute les fruits ^-^
On peut aussi imaginer un roulé avec une génoise au chocolat et des framboises parsemées dans la crème.
Enfin, vous avez compris, la crème de mascarpone, c'est bon tout le temps !




Pour un grand tiramisu (8 personnes) : 
Ces biscuits là !! 


  • 500 g de mascarpone
  • 5 oeufs (blancs et jaunes séparés, à température ambiante)
  • 100 g de sucre en poudre
  • 1 pincée de sel
  • Biscuits boudoirs ou à la cuillières (ceux qui sont tout mous avec du sucre glace, pas ceux qui ont du sucre sur le dessus)
  • 15 cl de café bien fort
  • Cacao en poudre pour saupoudrer
  • éventuellement 60 ml de liqueur

Battre le mascarpone dans un saladier.
Dans un autre saladier, battre les jaunes avec le sucre avec un fouet pour obtenir un mélange jaune pâle et mousseux. Incorporer petit à petit le mascarpone.
Battre les blancs d'oeufs en neige bien ferme avec la pincée de sel.
Incorporer délicatement les blancs au mélange mascarpone : mettre un quart des blancs pour "détendre" la crème, puis incorporer petit à petit en tournant autour pour ne pas trop casser les blancs (mais si vous êtes délicat, ça ira).
Au fond d'un plat, déposer des biscuits à la cuillère. Arroser de café (mélangé à l'alcool si vous en mettez) pour que les biscuits soient imbibés mais pas détrempés.
Napper de crème, puis remettre une couche de biscuit et une couche de crème.
Mettre au frigo pendant au moins une heure.
Au moment de servir, mettre le cacao dans une boule à thé ou une passoire à thé et saupoudrer le tiramisu !!




J'ai pris cette recette dans ce petit livre de cuisine italienne malheureusement plus édité, mais l'auteure Carla Capalbo en a sorti un autre.
C'est la recette que j'avais apprise auprès d'une vraie mama italienne pendant mon long séjour là bas et je peux vous dire qu'avec cette façon de faire, pas besoin d'artifices pour faire tenir votre tiramisu !
Il sera bien solide et vous pourrez faire des parts sans problème.
Si vous craignez quand même de tout voir s'effondrer ou si vous voulez une présentation plus esthétique, coupez vos boudoirs en morceaux pour les déposer au fond de verrines et faire là aussi deux couches.
ça fonctionne très bien et c'est un dessert parfait pour un diner.



Alors ? Tenté ? 





Syl est en panne d'Internet aujourd'hui mais on pense à elle !





samedi 21 novembre 2015

J'ai testé... le biberon de transition mam ☆☆☆

Revoilà un petit test sur ce blog.
Il y a longtemps que je n'ai pas pris le temps d'en publier, mais j'en ai plein en stock et je vais profiter de la période des fêtes pour les partager avec vous.
C'est la bonne période pour avoir des idées de cadeaux de Noël, non ?


 


Pour le test d'aujourd'hui, je vais vous parler d'un objet très pratique quand on a un enfant de 15 à 20 mois (peut-être même avant).
C'est évidemment très ciblé, comme le sont certains objets de puériculture, mais si vous cherchez une idée de cadeau pour un petit de cet âge ou si vous en avez un vous même, cela peut vous être très utile.
Et puis les tout petits ont trop de jouets à Noêl, non ? ;^)




Quand on a dû choisir une marque de biberon pour ma fille, on a fait comme tout le monde et on a... hésité !
Il y a beaucoup de marques, beaucoup de modèles et ce n'est pas simple de faire un choix.
Pour un bébé allaité, c'est encore pire parce qu'on vous répète que si vous choisissez mal, l'enfant ne voudra plus du sein, le biberon étant plus facile.
Et puis il y a des tétines qui ne plaisent pas aux enfants, des textures, des formes, des odeurs qui leur font rejeter le biberon.




Comme je suis une fille prévoyante (pour certaines choses seulement, c'est mon drame personnel), j'avais regardé bien en amont, et j'avais choisi les biberons MAM.
On peut les démonter entièrement (pas besoin du goupillon), ils sont censés prévenir les coliques, et surtout, la tétine plate permet à l'enfant de conserver le geste de succion qu'il fait quand il est collé à sa maman.




Mais au bout de quelques mois, on a essayé de passer à la tasse d'apprentissage, ce bel objet qui comporte un bec avec des petits trous.
C'est très rigolo une tasse d'apprentissage, surtout pour arroser la table, le plancher, son t-shirt...
Chez nous, elle n'a eu aucun succès et a même été la cause de plusieurs étouffements.




Et puis on m'a proposé de tester le biberon de transition MAM.
Ce biberon est constitué d'un corps, de poignées et de deux tétines.
La première est une tétine n°3 avec un débit pour les grands, plate mais classique.
La seconde est plus intéressante.
Elle est plate également mais plus large et impose à l'enfant d'ouvrir la bouche pour pouvoir boire.
Il s'entraine ainsi à boire en ouvrant la bouche.
Les trous sont aussi plus grands, même si le débit est controlé.




On teste ce biberon depuis plus d'un mois, et depuis deux semaines, ma minette boit seule avec un vrai verre !!
Elle qui n'arrivait pas à se servir de la tasse est passée directement au verre.
On utilise tout de même beaucoup ce biberon et on en a même acheté un second.

Ils sont jolis, avec des petits dessins tout mignons.
Le bouchon les rend parfaitement hermétique sans risque pour votre sac à main.
Ils sont aussi faciles à nettoyer, le corps du biberon passant au lave-vaisselle.

Nous, on est super contents et ce biberon ne nous quitte plus !

`
La semaine prochaine,
je vous parlerai d'un jeu magnifique pour les petits 
ou d'une idée de cadeau pour une future maman.  

 

Produit offert 
(mais si on n'avait pas aimé, je ne vous en aurais pas parlé !)




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