jeudi 23 janvier 2014

La femme des dunes de Chris A. Bohjalian

Voici encore un roman Charleston pour ce billet de lecture.
Il faut dire que j’en ai lu deux l’un après l’autre juste après Noël, ayant pris un peu de retard dans les livres envoyés par l’éditeur.
Le prochain, ce sera d’ailleurs pour bientôt également, en espérant avoir moins de retard pour le suivant.
Je viens de commencer sa lecture, mais je vous en parlerai quand il sortira.

Pour aujourd’hui, je vous invite à vous plonger dans l’Histoire du peuple arménien et de ses relations avec l’Empire Ottoman.
Les publications sur ce sujet sont plutôt rares, surtout quand il s’agit de roman.
C’était donc une bonne surprise de découvrir ce titre, bien que cela ne soit pas un thème facile à traiter.

Malgré les réticences de son mari, Laura Petrosian, auteure de romances à succès, décide de s’intéresser à l’histoire de ses grands-parents et d’en faire un roman.
S’agit-il de la quarantaine ? D’une photo croisée dans un journal ? D’un besoin d’en savoir plus ? Ou tout ceci en même temps ? 
Laura n’en sait rien mais elle va découvrir tout un pan de l’histoire du peuple arménien qui lui était inconnu, malgré ses origines.
Elisabeth Endicott, sa grand-mère, a effectivement passé plusieurs mois à Alep où elle a secouru les réfugiés arméniens qui y était conduit par les gendarmes turcs.
Lors de son séjour, elle a croisé la route d’Armen, un jeune ingénieur arménien qui cherche à savoir ce que sont devenues sa femme et sa fille…

Il me faut d’abord vous dire que ce roman est très original.
Sa structure est plutôt classique.
Une jeune femme étrangère à une situation s’y trouve plongé et doit s’y adapter.
Elle rencontre un jeune homme qui va lui permettre de comprendre cette situation.
Mais ce qui fait l’originalité du roman, je l’ai dit plus haut, c’est le choix du cadre historique.
Le génocide arménien est un sujet délicat, peu connu, qui peut effrayer le lecteur.
Il faut donc une bonne dose d’audace ou une belle histoire pour l’attirer.

Chris A. Bohjalian a eu cette audace, ainsi que l’envie d’écrire sur ses aïeux.
Ce choix nous offre la lecture d’une petite histoire dans la grande, et nous permet de découvrir le génocide sous le regard d’une jeune femme sensible, un peu naïve parfois, éprise de liberté et d’émancipation tout en ne souhaitant pas choquer son entourage.
C’est un équilibre difficile à trouver, surtout juste avant la première guerre mondiale.
Cela offre également au lecteur un roman très intéressant d’un point de vue historique, dans la tradition de ces romans où les informations données au lecteur sont primordiales pour qu’il comprenne et apprenne.
Le récit est simple mais sans pathos excessif, ce qui est préférable avec un sujet pareil.

Le personnage de Laura Petrosian permet aussi d’aborder la période actuelle et d’envisager les suites qui ont été données à cet évènement.
De nombreux Arméniens se sont réfugiés aux États-Unis et les communautés se sont reconstituées, laissant les Turcs face aux Arméniens. 

On voit aussi que l’auteur a dû faire de nombreuses recherches sur sa famille, leur histoire et l’Histoire.
Il n’est pas possible de faire un tel récit sans se plonger intégralement dans ces recherches.
Néanmoins, ces informations sont parfaitement intégrées et tout coule et se lit sans déplaisir.
La lecture n’est toutefois pas "plaisante".
Elle ne peut pas l'être avec un pareil sujet mais on se prend à suivre ces personnages ballotés au gré du vent un peu malgré soi, et on finit par ne plus lâcher le livre.

Il y a tout de même un point qui m’a dérangé.
Chaque début de chapitre revient au présent et raconte l’histoire de Laura Petrosian.
Les mises en parallèle sont parfois difficiles à suivre tant on est pris dans l’histoire d’Elizabeth et pas dans celle de sa descendante.
J'ai compris où l'auteur voulait en venir, retraçant ainsi son parcours psychologique, mais cet aspect morcelé m'a dérangé.
Cela m'a fait l'effet d'une coupure indésirable dans la plongée dans le passé qu'elle nous propose, bien que son propos soit intéressant.
J’ai d’ailleurs été très surprise de constater que l’auteur était un homme tant je pensais que l’histoire de Laura était la sienne !

Si vous aimez les fresques historiques, les beaux personnages, les plongées dans l’Histoire, les histoires d’amour contrarié, ce roman pourrait bien vous plaire.



Merci aux éditions Charleston pour cette lecture édifiante.




samedi 18 janvier 2014

Une PAL pour un bébé pas encore né (^-^)

Sur un blog de lecture, il est normal de parler de livres, n'est-ce pas ?
Et si j'inaugure les billets qui annoncent l'arrivée d'un bébé chez moi, il est donc normal aussi que je commence par aborder les livres qui seront les siens ! :^)

Enfin, pour être plus précise, je devrais parler des livres qui "sont déjà les siens" ! 

Quand on fréquente régulièrement les librairies, qu'on a un neveu d'un an et une nièce de quatre ans, on connait forcément le rayon enfant depuis quelques temps.
J'ai donc pu repérer des livres qui m'ont plu d'emblée, d'autres que je garde pour plus tard et des classiques de mon enfance qu'il faudra que je retrouve.

En ce samedi après-midi, un billet portant sur ces livres m'a paru un bon moyen de commencer une PAL pour bébé (en plus des 3 PAL qui sont les miennes !!) et une (longue) série de billets "maternité".

Car je dois vous l'avouer, en avance de 4 mois, j'ai déjà acheté deux livres pour les tout-petits et la wishlist de ma fille se remplit doucement. 

Dans sa PAL, il y a ainsi deux livres dont le premier me paraissait absolument indispensable :

  • Un énorme câlin pour Martin, David Melling
  • Mes animaux, livre sonore Gallimard




Non mais regardez-moi la bouille de cet ours ! 
Qui pourrait résister ? 
Et en plus, il y a aussi un lapin et deux autres animaux qui sont disponibles en librairie. J'adore ! 
Quant au second, il m'a été conseillé plusieurs fois et on y découvre notamment le cri du lapin, ce qui devrait réserver un moment de fou rire à tous les coups. 

Evidemment, cela ne sera pas suffisant pour une petite fille qui vit dans une maison où la PAL de sa maman contient presque 300 livres. 
J'ai donc déjà quelques titres dans mon carnet "wishlist"
  • Bonne nuit Rosalie, E. Hayashi
  • Promenons-nous dans les bois, Lisa Sanchis
  • La nature, livre sonore gallimard





Et pour plus tard, j'ai également déjà noté des incontournables. 
Sendak est un peu dur pour les tout petits, mais je garde un grand souvenir de ma propre lecture. 
Les livres sur la couche et le pot viendront après un an, mais l'herbier arrivera peut-être avant, autant pour moi que pour ma fille :  
  • De la petite taupe qui voulait savoir qui lui avait fait sur la tête, Werner Holzwart
  • Qu’y a-t-il dans ta couche ?, Guido Van Genechten
  • Le petit pot de Jojo, Tourbillon
  • Max et les maximonstres, Maurice Sendak
  • Mon premier herbier des feuilles, Père Castor Flammarion






Maintenant, il faut que je me décide à choisir une bibliothèque ou à trouver une astuce déco pour ranger les livres de ma merveille !
Je voudrais que ce soit à la fois facile à ranger et accessible pour un enfant sans être trop encombrant, ce qui n'est pas simple à trouver.


Si vous avez des idées de rangement ou 
des idées de titres pour compléter cette PAL / wishlist, 
n'hésitez pas !






jeudi 16 janvier 2014

L'Italienne de Adriana Trigiani

Les éditions Charleston vous réservent un pavé de choix pour ce début d'année.
Un pavé au sens propre autant qu'au sens figuré car ce volume fait plus de 600 pages qui vous plongeront dans l'Italie du début du siècle et les États-Unis de l'entre-deux guerres.
En suivant la vie de deux jeunes gens qui vont se croiser au fil des soubresauts de l'histoire, le lecteur voyage et découvre la grande Histoire de l'immigration italienne.
L'auteur nous emmène aux côtés de ses personnages pour nous faire vivre cette période si peu connue.


A l'âge de 7 et 10 ans, Ciro et Eduardo doivent s'installer au couvent.
Leur père a disparu dans une mine du Minnesota, laissant leur mère seule en Italie et sans argent pour les élever.
Les deux garçons l'attendront en vain, bien nourris, aimés et logés par les sœurs en échange de tâches communes.
Enza grandit un peu plus haut dans la montagne, entourée de ses frères et sœurs, maniant l'attelage comme son père et rêvant d'acheter la maison familiale pour mettre tout le monde à l'abri.
Mais les évènements se bousculent et quand Ciro croise Enza, un amour réciproque semble prêt à grandir entre eux sans entrave.
Ce ne sera pourtant que passager.
Ciro doit partir pour New York sans délai, Eduardo entre au séminaire, tandis qu'Enza et son père vont quitter leur montagne pour des contrées moins accueillantes...

Voilà une histoire qui me paraissait alléchante avant même d'avoir ouvert le livre.
La structure est très classique : la vie ne fait pas de cadeau à nos jeunes amoureux qui se trouvent séparés alors qu'ils viennent juste de se rencontrer.
La question qui suit semble inévitable, vont-ils pouvoir se retrouver ?
S'ensuit évidemment une suite de péripéties (il faut bien tenir 600 pages) qui réunit et éloigne nos amoureux plusieurs fois avant la dernière partie du roman.
Mais ce qui est intéressant dans ce roman, ce sont davantage les thèmes qui y sont développés.
L'histoire de Ciro et d'Enza se déroule sur fond d'immigration italienne et d'expansion des États-Unis.
On y observe le développement de New York, tout autant que l'Italie et ses difficultés économiques.
Ce n'est pas toujours très gai, je vous l'accorde, tout en promettant de belles scènes et des descriptions intéressantes.

Les personnages d'Enza et de Ciro sont également très attachants, et dès les premières pages, leur histoire emporte le lecteur et l'invite à tourner les pages pour mieux les connaître.
Il faut dire, d'ailleurs, que le style de l'auteure est très vif.
Il s'agit d'une traduction, mais il n'y a pas de temps mort.
La narration est construite en alternance, en se focalisant soit sur Ciro, soit sur Enza sans laisser retomber la tension et l'on est toujours en attente du prochain évènement qui va bouleverser leur vie une fois encore.
Le titre d'origine comme sa traduction m'ont toutefois longtemps intrigué pendant ma lecture : "The shoemaker's wife".
Le début du récit est plutôt centré sur Ciro et Enza ne prend de l'importance que bien plus tard.
Or c'est elle l'Italienne ou la femme du cordonnier.
Mais le roman bascule ensuite, et c'est elle qui est sans doute la plus forte dans le couple qu'elle forme avec Ciro. 

J'ajouterais tout de même deux bémols, vous me connaissez.
J'ai trouvé que les personnages étaient tout de même un peu trop "gagnants".
Quelques soient les évènements qui les touchent, ils arrivent toujours à trouver la bonne idée, la bonne personne, le bon boulot qui leur permettra de réussir ce qu'ils ont entrepris.
Tant mieux pour eux me direz-vous !
Mais dans la vraie vie, il me semble qu'il y a aussi des moments où l'on fait des mauvais choix ou des mauvaises rencontres sans qu'il y ait toujours quelqu'un pour vous rattraper.
La dernière partie du roman m'a également parue moins intéressante et j'ai eu plus de mal à rester attentive, ce qui laisse tout de même 500 pages de lecture endiablée.

Mis à part ces deux réserves, ce roman réserve une lecture très agréable et plutôt enthousiasmante.
Comme je l'ai dit plus haut, ces deux jeunes gens plein de fougue sont attachants et on se détache difficilement de leur ascension sociale.
On découvre aussi certains aspects du développement des États-Unis de l'intérieur, à une période (1915-1935) qu'il ne me semble pas voir souvent dans les romans.

Je vous conseille donc ce roman-fresque sans hésiter si la période historique vous plait, si vous aimez les belles histoires à rebondissements, si vous cherchez un pavé pour la plage (oui, oui, même en hiver on peut le faire) ou pour les dimanches après-midi au coin du feu (plus facile en hiver), si vous aimez l'Italie et les gnocchi au pesto !


Merci aux éditions Charleston pour cette jolie lecture.

Ce roman est sorti depuis le 13 janvier 2014. 





mardi 14 janvier 2014

Cache-cache avec le diable de Patricia Wentworth

Pour le premier billet de lecture de cette année 2014, je vous ai réservé un avis sur un roman que j'ai tout simplement adoré. 

Saviez-vous que certains romans de Patricia Wentworth n'avaient toujours pas été traduits en Français ? 
Il y a pourtant de belles pépites dans sa bibliographie et il me semble bien dommage que nous en ayons été privé. 
Les éditions 10-18 comblent progressivement ce manque en ajoutant les titres oubliés à leur catalogue, ce qui explique, par exemple, que certains de ces romans apparaissent  dans les nouvelles publications sur les tables de nos libraires.  

Il y a quelques mois, Cache-cache avec le diable a ainsi été édité dans une traduction toute neuve. 
Le thème me plaisait bien, je connais l'auteure qui m'a rarement déçu et ma PAL avait faim. 
Je n'ai donc pas résisté longtemps. 

Au château des Hildred, Sarah passe un entretien pour un emploi de gouvernante. 
Elle a de solides recommandations, mais un caractère indépendant et sa jeunesse la dessert parfois dans ce genre d'entretien. 
La jeune fille dont elle va devoir s'occuper est aussi un peu fantasque. 
Elle a perdu ses parents et son oncle l'a enlevé du pensionnat où elle étudiait pour la garder à la maison le temps qu'elle fasse son deuil. 
Il semble bien qu'il y ait une autre raison, mais tout ceci reste bien mystérieux. 
Contre toute attente, et à son grand soulagement car elle a besoin de travailler, Sarah obtient l'emploi. 
Ravie, elle rentre à Londres quand une jeune fille tombe littéralement du ciel devant sa voiture ! 
Manquant l'accident, elle découvre qu'il s'agit de sa nouvelle protégée et sent immédiatement que ce nouveau travail ne sera pas de tout repos...

Vous l'aurez sans doute deviné, il est ici question de menaces, de tentative de meurtre, de suspicion de folie ou de paranoïa. 
A partir d'une situation banale, Patricia Wentworth va développer progressivement un univers où la tension est permanente, où chacun épie son voisin et le suspecte, où la victime elle-même pourrait bien être l'assassin. 
On entre avec délice dans ce monde fermé, dans ce petit univers dont on ne peut pas sortir indemne. 
On se demande aussi en permanence qui est qui, où cela nous mène et ce qu'il va se passer ensuite. 
C'est effrayant et délicieux ! 
Il faut dire que l'intrigue est particulièrement bien construite. 
La jeune fille dont Sarah a la charge est un peu réservée, sa tante est excentrique, son oncle est charmeur, un autre oncle a disparu, un ami survient sans que l'on sache trop d'où il vient...
Tous les personnages sont susceptibles de cacher quelque chose, tous auraient une raison de commettre un crime. 
Ils sont aussi tous très bien construits, avec une vraie personnalité et une psychologie bien développée, ce qui n'est pas si fréquent dans ce genre de roman. 
Les rôles changent parfois, les identités supposées ou réelles bougent jusqu'au dénouement final. 
C'est encore une fois un vrai plaisir. 

Il m'est difficile de vous en dire plus sans dévoiler certains aspects de l'intrigue.
Je m'arrêterai donc là car je ne veux pas gâcher votre plaisir. 
Mais clairement, voilà un roman d'une grande modernité, digne des plus grands thrillers ! 
C'est rarement le cas, mais je n'ai aucun bémol et si vous avez envie de lire quelque chose de prenant, d'intense et de bien écrit, ce roman pourrait bien vous plaire.








dimanche 12 janvier 2014

Le 31 décembre à la mer...

Le 31 décembre 2013, il faisait 20° sur la plage de Saint Jean de Luz !

Les enfants jouaient dans l'eau, le soleil brillait, l'air était doux...

Mais la mer cachait son jeu.
Au loin, les vagues se fracassaient sur les jetées et venaient même parfois nous chatouiller les doigts de pied.

Peu importe, on en a profité et on a finit l'année tout en douceur !

























Bon dimanche soir 
ou 
bon début de semaine !



Les dimanche en photo c'est aussi chez 
et qui d'autres ? 



samedi 11 janvier 2014

Et ces dernières semaines ? C’était comment ?

La reprise du travail, le retour du train quotidien (au sens propre et figuré), les soldes d’hiver, les vœux aux collègues, aux amis, à la famille, tout ceci m’a doucement amené jusqu’à cette nouvelle année 2014.

Je ne suis pas fan de galette des rois mais cela fait aussi partie de ces symboles qui nous font réaliser qu’il faut changer d’unité.
En soi, cela ne change pas grand chose, tout en étant tout de même un symbole fort du passage du temps.
Évidemment, vous pourriez choisir de fêter le nouvel an qui vous convient : l’occidental, le chinois, le thailandais… mais si vous habitez un pays occidental, il sera difficile d’y échapper.

Je vous avoue néanmoins que je suis passée à la nouvelle année dans ma tête seulement depuis lundi dernier.
Les vacances ont cet avantage de suspendre le temps.

Ce samedi fait donc pour moi figure de premier samedi de l’année.
Un samedi idéal pour faire un billet J’aime / j’aime pas, n’est-ce pas ?

Ces deux dernières semaines, j’ai aimé beaucoup de choses :
  • Faire les soldes avec ma maman pour mon futur bébé. Ce n’est pas toujours simple de savoir ce qu’il faut quand on n’a pas encore d’enfant mais ces premiers achats m’ont fait un bien fou et j’ai adoré faire les premières piles de petits vêtements en triant et en rangeant tout. Il faut maintenant laver tout cela et choisir une place quand la chambre sera finie. Je vous rassure, je n’ai pas « tout » acheté, et j’ai pris plein de tailles différentes. Je complèterai plus tard, j’ai largement le temps.
  • Arriver à écrire deux billets de lecture (pour la semaine prochaine) et en avoir commencé un troisième. Il y a quelques temps qu’il m’est difficile d’écrire, pour le travail comme pour le blog. Manque de temps, d’envie, de motivation, fatigue ou autre chose à faire. Mais l’écriture pour le blog me semble une bonne façon de m’y remettre et j’aime vraiment cela.
  • Aller mieux depuis quelques semaines, me sentir de nouveau capable de marcher une heure sans devoir en souffrir deux jours, avoir envie de sortir un peu plus, de prendre l’air. Le 5e mois de grossesse a cet avantage il paraît, avant la rechute du 3e trimestre. J’en profite.
  • Passer une semaine à la mer pendant les vacances. Le temps n’a pas toujours été magnifique, il y a eu de la tempête, mais j’aime la mer d’un amour inconditionnel et on a fait de belles balades. Vous verrez surement quelques photos demain d’ailleurs ^-^.
  • Et puis bien sûr, sentir ma fille qui fait des cabrioles dans mon bidon quand je me réveille, quand je me couche, quand je lis, quand je mange du chocolat… 


Et puis il y a aussi eu des mauvais côtés pendant ces vacances et cette semaine de reprise et je n’ai pas aimé :
  • Être tellement occupée cette semaine que je n’ai pas publié sur le blog,
  • Laisser des choses de côté alors qu’elles sont déjà très en retard et qu’il y a des gens qui comptent sur moi. Mais la fatigue a eu raison de ma volonté plus d’une fois ces dernières semaines.
  • Laisser de côté mon crochet et mes aiguilles bien que mes ouvrages aient bien avancé la semaine dernière. Mais j’ai reçu un superbe colis de laine qui me pousse à m’y remettre très vite.
  • Continuer à me battre avec la MGEN qui est vraiment une complémentaire à bannir si vous le pouvez (en tout cas pour Paris). Je ne sais pas si la part sécurité sociale est bien gérée, mais pour la mutuelle, c’est une horreur. Les cotisations sont mal calculées, les paiements ne sont pas faits intégralement aux médecins, les conseillers répondent vite et mal quand on se déplace… Bref, j’envisage sérieusement d’aller voir ailleurs l’année prochaine.
  • Prendre le train une seule fois cette semaine pour aller au bureau et tomber sur un accident de personne (verdict une heure de retard) et une annulation de réunion. J’avais des billets prem’s, il a donc fallut attendre jusqu’à 18h pour reprendre le train. Remarquez, ça m’a permis d’aller à la MGEN pour râler X(


Voilà deux semaines plutôt belles pour commencer l’année.
La semaine prochaine, je devrais pouvoir être plus présente et cela devrait aller en s’améliorant.
Je vous donne rendez-vous demain pour des photos du pays Basque espagnol.
Bon weekend !





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