dimanche 24 février 2013

✻ Madeleines d'hiver ✻

Il fait froid, l'hiver est toujours là et ne semble pas vouloir finir.

Depuis trois ou quatre ans, sans doute depuis que j'ai atteint la barrière fatale de la trentaine, j'ai pris conscience du passage des saisons, des petits plaisirs de l'été et de ceux de l'hiver.
Je ne saurais vous dire ceux que je préfère.
Tous me plaisent, me rappellent à moi-même, m'invitent à sortir ou au contraire à me replier sur mon chez moi.

Mon jardin rythme aussi les saisons, tout comme le marché où j'essaie désormais d'acheter et de manger de saison, local et frais.





Le printemps voit les premiers bourgeons, les envies de grand air, les plantations précoces et les parfums qui renaissent.
L'été nécessitent des soins, du désherbage, de l'entretien, mais donne aussi des fruits, des herbes, des légumes, et des après-midis à l'ombre d'un grand arbre avec un bon bouquin.
L'automne me ramène chez moi, me donne envie de repeupler mon canapé, d'organiser les dernières récoltes.
L'hiver rallume le poêle, synonyme de châtaigne et de crème brulée, de lecture au coin du feu et de jardin endormi.

Evidemment, certaines recettes sont aussi associées à certaines saisons, et en hiver, je reviens vers des douceurs sucrées et épicées, mais encore un peu teintées d'été, comme les madeleines que voici.
Pour les déguster en plein hiver, c'est simple, il suffit d'avoir fait sécher un peu de feuilles de menthe l'été précédent.






Madeleines à la fleur d'oranger, 
à la menthe et au quatre-épices

Pour une vingtaine de madeleines :

  • 3 oeufs
  • 150 g de beurre demi-sel
  • 150 g de farine
  • 1/2 sachet de levure chimique
  • 150 g de sucre roux
  • 2 cs d'eau de fleur d'oranger
  • 8 feuilles de menthe
  • 1/2 cc de quatre-épices
  • 1 cs de miel

Dans une casserole, fondre le beurre avec la menthe ciselée et le miel. Laisser refroidir et réserver.
Dans une jatte, battre les oeufs et le sucre. Après avoir mélangé la farine et la levure, l'incorporer au mélange sucre et oeuf. Ajouter le beurre aromatisé, la fleur d'oranger et le quatre-épices.
Lorsque le mélange est homogène, laisser reposer au moins une heure au réfrigérateur.
C'est ainsi que vous obtiendrez de belles bosses sur vos madeleines !

Une heure plus tard, préchauffer le four à 270°c.
Remplir les moules aux deux tiers et enfourner pour 4 minutes.
Baisser ensuite le four à 210°c et poursuivre la cuisson 6 minutes.
L'idéal est de laisser les madeleines refroidir sur une grille.
Si vous faites plusieurs fournées, n'oubliez pas de remettre la pâte au frais, cela vous permettra d'obtenir de belles madeleines à bosse.


Dégustez avec un bon thé et pourquoi pas avec une panna cotta !!  






Recette issue de l'excellent livre "Madeleines" de Lucia Pantaleoni, Delphine Brunet : 




Un livre de plus pour le challenge de Syl :  





vendredi 22 février 2013

Ici et là !

Pas de billet de lecture pour aujourd'hui !

Je suis allée refaire un tour sur mon blog de bento et j'ai eu envie de le secouer un peu.
J'y ai mis plein de photos du Laos et de Thailande.
Si vous voulez prendre l'air, c'est par ici ^-^.

J'ai aussi passé ma journée avec Vygotski, et ça, ça prend forcément du temps.
Je ne vous ferai pas de billet sur ces livres, je les lis parfois en diagonales, souvent en cherchant quelque chose de précis comme le socio constructivisme ou la zone proche / proximale de développement.
C'est passionnant, mais pas facile à transmettre par ici (et sans doute pas passionnant pour tout le monde, j'imagine).




Et pour demain,
 une petite recette de madeleines, 
ça vous tente ? 



jeudi 21 février 2013

Un étranger dans le miroir d’Anne Perry


Mais pourquoi ai-je cessé de lire Anne Perry ?

Il y a plusieurs années, j’ai lu plusieurs tomes de la série faisant intervenir Pitt et sa femme Charlotte.
J’aimais beaucoup ces histoires, mais je crois que je les lisais au fil de leur publication, et l’attente a dû me lasser.
C’est bien dommage, car la lecture du premier tome de l’inspecteur Monk m’a vraiment plu.

Le réveil est rude. Ouvrant les yeux sur un plafond inconnu, William Monk se demande ce qu’il fait là.
Un homme qui semble le connaître vient lui rendre visite, mais il ne le reconnaît pas.
En cherchant son nom, son adresse, ou tout autre information sur lui-même, il découvre qu’il ne se souvient de rien ! Le noir absolu !
Il a le bras et quelques côtes cassés, il est resté inconscient plusieurs semaines.
De retour chez lui, il essaie de se rappeler de quelque chose, mais rien ne vient.
Il lui faut pourtant retourner travailler, et pour éviter de perdre son travail, il décide de ne rien dire, de faire semblant et d’en apprendre le plus possible sur lui-même.
Mais il va falloir qu’il joue serré car dès son premier jour, une affaire difficile lui est confiée…

Quel bonheur !!
Ce roman m’a enchanté ! J’ai passé 5 jours dans un cocon ouaté, accompagnant Monk dans la découverte de lui-même et des autres.
C’était magnifique ! Enfin un bon roman, bien construit, mené de main de maître, qu’on ne veut pas lâcher mais dont on garde quelques pages pour ne pas le quitter tout de suite.
J’ai effectivement gardé les 40 dernières pages pour faire durer le plaisir un jour de plus et ne pas gâcher la fin par une lecture vespérale teintée de fatigue.

Anne Perry met en place une histoire à différents niveaux, une enquête multiple où l’on découvre les différents fils qu’elle pourra tisser dans les tomes suivants.
C’est un plaisir de suivre Monk dans la quête de l’assassin de Joscelin Grey, de le voir découvrir les différents indices, les protagonistes et de progresser difficilement.
Mais il se débat aussi avec sa mémoire qui se dérobe, qui refuse de lui livrer les informations dont il aurait besoin.
Il ne reconnaît plus rien ni personne, ce qui l’amène à s’interroger sur lui-même.
Il se découvre dans le regard des autres, et ce qu’il voit ne lui convient pas.
Homme dur et calculateur, il semble imbu de lui-même, seul et arrogant.
Évidemment, ce premier tome ne nous dit pas s’il l’est vraiment, ce qui est de l’ordre de la façade et de la réalité.
Et voilà un premier fil tendu vers les tomes suivants.

Cette perte de mémoire est d’ailleurs un procédé très habile de la part de l’auteur.
J’ai d’abord trouvé que c’était une ficelle un peu grosse.
Un personnage qui ne sait plus nécessite qu’on lui explique (comme celui qui ne sait pas) ou qu’il cherche son passé, ce qui est un peu bateau en littérature, notamment quand elle est policière (on pourrait citer de nombreux exemples).
Le talent de l’auteur consiste alors à utiliser le procédé, tout en étant plus doué que ses prédécesseurs.

Et c’est bien le cas ici. Il n’y a pas de contradiction, les informations sont distillées au compte-goutte, les souvenirs qui reviennent le font de manière tout à fait vraisemblable.
Cet état du personnage, en suspens par rapport à sa propre vie, entraine un climat à la fois stressant et surtout amorti par rapport à la réalité.
Monk s’observe lui-même, il s’analyse en permanence, il mesure ce qui semble relever de son instinct professionnel ou de son caractère qui lui est évidemment inconnu.

Enfin, comme il s’agit d’un premier tome, plusieurs pistes sont lancées pour la suite.
Les relations professionnelles de Monk sont évidemment au cœur de sa vie, avec la rivalité qu’il entretient avec son supérieur Runcorn, mais également avec Evan, son lieutenant.
On se demande aussi quelle était l’ambition de Monk, voulait-il devenir commissaire ou préfet avant son accident ?
Les relations amicales semblent absentes de sa vie, mais peut-être a-t-il des amis ? Et une relation amoureuse ? 
Tous ces sujets ne sont évidemment pas épuisés et l’on compte bien qu’Anne Perry revienne dessus dans les tomes suivants.

En bref, vous l’aurez compris, j’ai adoré !
Je ne peux donc que vous le conseiller, à condition d’aimer les séries, car il est probable que vous ayez envie de lire la suite.
Quant à moi, je vais aller faire un tour bien vite chez mon bouquiniste préféré pour pouvoir lire la suite J


Un roman de plus pour le challenge Polar historique, un premier roman pour le challenge Anne Perry, et un pour le challenge thrillers et polars








mercredi 20 février 2013

✻ Un tag ? ✻

Cela faisait longtemps que je n’avais pas répondu à un tag, et d’un seul coup, j’en ai reçu trois. Il faut donc que je m’y mette, et voici le premier, qui m’a été envoyé par SKTV

Les règles de ce tag :

- poster les règles de ce tag sur le blog

- répondre aux 11 questions

- inventer 11 nouvelles questions

- partager le tag avec 11 personnes en indiquant le lien de leur blog et en leur annonçant la nouvelle. 


Et voici mes réponses aux questions de  SKTV : 

1. Quel est ta série télé policière préférée et pourquoi ? (ceux qui n’ont pas la télé peuvent inventer)

Sans hésiter, Sherlock !  Cette petite série (beaucoup trop petite d’ailleurs) remet Sherlock Holmes au goût du jour avec un talent immense, et chaque nouvel épisode est une petite merveille. 

2. Le pays que tu aimerais découvrir ?

Généralement, je vais visiter les pays qui me font envie. Il n’y en a donc pas beaucoup qui me tente mais deux lieux me font tout de même de l’œil : Buenos Aires et le Machu Pichu. Je rêve de m’acheter une paire de salomé de Tango à Buenos Aires bien que je ne danse pas le tango, et le Machu Pichu me fascine, allez savoir pourquoi (il faut dire que j’ai visité trois fois Angkor, alors il faut trouver autre chose). 

3. Bientôt la St. Valentin : quelle est ta chanson d’amour préférée ?

J’aime beaucoup la version de Toxic de Yael Naïm. C’est sensuel et bien trouvé, un peu plus fin que l’original. 

4. Ton plus récent moment de honte en public ?

Je me suis énervée face à une collègue qui me tenait tête et qui avait tort. J’étais dans mon droit, mais je n’aime pas m’énerver comme ça. En Asie, ça ne se fait pas car on perd la face en perdant son sang-froid.   

5. Un rêve (ou un cauchemar) récurrent ? (Allonge-toi, raconte-moi ton enfance…)

Oublier mon cours chez moi. Mais ça m’arrive une fois par an et je me débrouille en général pour le réimprimer. 

6. Ta recette de cuisine qui met tout le monde d’accord ?

Le tajine au poulet aux abricots ou aux pruneaux ! Ce n’est pas la recette traditionnelle, mais l’agneau et moi, on est fâché. Le poulet marche donc beaucoup mieux et en général, le plat revient totalement vide. 

7. Le meilleur moment de ta journée ?

Le soir quand je vais sous ma couette avec un bon bouquin. Je pousse un long soupir où tous les soucis de la journée s’envolent, je prends mon bouquin, et plus rien n’existe. 

8. Un polar à conseiller (livre ou film) ?

Pas vraiment un polar, mais un thriller des premiers temps : Rebecca de Daphné du Maurier. Ne vous fiez pas à l’éventuelle réputation surannée de l’auteur, ce roman est juste magnifique !! 

9. Et si c’était à refaire ?

Ma devise : ne jamais rien regretter ! Je referais donc sans doute la même chose. 

10. Est-ce que tu rigoles toute seule en lisant un bouquin ou en regardant la télé ?

Oui, très facilement, ce qui me fait sans doute passer pour une folle dans le train, mais tant pis. 

11. (idem précédent) Est-ce que tu pleures ?

Eh oui, beaucoup aussi, c’est logique. Je pleure pour les films tristes, je pleure pour les films romantiques, c’est ma catharsis à moi et ça me fait parfois du bien. 


J’envoie ce tag à ces 11 personnes, si vous l’acceptez bien sûr ^-^ :

Valou (son billet), Delphine, George (son billet), Alex, Liliba Sylire, Catherine, Natiora (son billet), Syl, Soma et Mrs Pepys

Et voici les 11 questions auxquelles il vous faudra répondre : 

1. Ton roman préféré ? 
2. Le dernier roman que tu as lu et aimé ? 
3. Le prochain livre que tu as envie de lire ? 
4. Ta ville préférée ? 
5. Ton vêtement fétiche ?
6. Ton animal totem, celui que tu préfères ou qui te symbolise ? 
7. Mer ou montagne ? 
8. Ville ou campagne ? 
9. Train, bateau ou avion ? 
10. Ton dessert favori ? 
11. Un musée ou un lieu culturel que tu aimes particulièrement ? 




mardi 19 février 2013

La tulipe du mal de Jörg Kastner



Mon homme a été sélectionné par le Livre de Poche pour faire partie des jurés du Prix du livre de Poche !
Pendant quelques mois, il va donc recevoir deux romans par mois qu’il doit lire puis juger à la fin du mois.
Ce qui tombe vraiment bien, c’est qu’il a été choisi dans la catégorie « Roman policier » et j’avais justement envie de me faire une petite session de lecture intensive de policiers.
Je ne dis pas que je lirai les deux romans chaque mois, mais ce mois-ci, il a reçu deux policiers historiques.
Comment résister ?

En ce mois de mai 1671, l’un des banquiers les plus puissants d’Amsterdam est assassiné en pleine nuit, au milieu de la rue.
Il sortait de la réunion hebdomadaire des « Vénérateurs de la tulipe » et lorsqu’on le retrouve, il tient un pétale de tulipe dans sa main.
Mais ce n’est pas une tulipe quelconque. Il s’agit d’un pétale noir à tâche rouge, une espèce que personne ne semble connaître.
Jeremias Katoen, inspecteur de circonscription, se voit confier l’enquête par le juge d’instruction.
L’assassin doit être rapidement découvert, car la menace d’une guerre plane sur la ville.
Le souvenir de la grande spéculation des tulipes et des ruines qui s’en sont suivi est aussi toujours vivace…

J’étais enthousiaste lorsque j’ai ouvert ce roman.
L’histoire me plaisait, Amsterdam m’attirait, et j’aime bien les tulipes !
Pourtant, les 50 premières pages ont été difficiles.
La lecture était laborieuse, le style de l’auteur m’a semblé difficile, même si j’ai bien conscience qu’il s’agit d’une traduction.
Il y a aussi de nombreuses répétitions, notamment au sujet du pétale de tulipe.
Katoen qui enquête le montre à tout le monde, c’est normal, mais il n’est pas nécessaire de répéter 15 fois que c’est un élément important et de refaire la description de ses tâches rouges.

J’ai également été dérangée par le choix des mots.
Katoen est « inspecteur de circonscription » sous les ordres d’un « juge d’instruction », ce qui me paraît un peu trop moderne.
Il y a des détails dignes des experts concernant la description des meurtres, ou l’identification d’un mobile, qui côtoient des scènes de fouet pour faire avouer les coupables d’une manière un peu artificiel. On ne sait plus trop s’il s’agit d’un roman se déroulant au 20e siècle ou au 17e.

J’ai néanmoins persévéré, et je suis allée jusqu’au bout.
Si l’on fait abstraction des quelques réserves dont je viens de parler, l’histoire se tient et bien qu’il soit un peu difficile de deviner le mobile des crimes, on la lit sans déplaisir.
Katoen est misogyne, il patauge pas mal avant de trouver des informations intéressantes, mais son évolution pendant 400 pages a attisé ma curiosité.

On apprend aussi de nombreuses choses au sujet des tulipes.
L’auteur reprend l’histoire largement connue et y ajoute des références plus précises sans doute issues de ses recherches personnelles.
Comme il cite quelques sources, on peut imaginer qu’il s’est appuyé sur celles-ci pour élaborer son histoire, et c’est assez habile.
Il revient aussi sur la politique menée à l’époque par Louis XIV qui lorgnait sur les Pays-Bas et envisageait de les envahir.

La ville d’Amsterdam est également bien mise en valeur.
Katoen écume plusieurs quartiers encore debout aujourd’hui, on se promène dans le Jordaan, ou dans le centre de la ville, du côté de la Neue Keurk, le long du dam, et pour un lecteur qui connaît un peu la ville, c’est extrêmement agréable de la redécouvrir peuplée de ses habitants d’origine.
La fondation de la ville est aussi évoquée, enrichissant l’évocation des bâtiments d’une dimension historique qui s’ajoute agréablement à l’évocation de la vie quotidienne, des marchés et des travailleurs.

Si mon impression est un peu mitigée en raison des longueurs de la première partie, je ne peux que conseiller cette lecture si vous aimez les tulipes, si vous allez à Amsterdam ou appréciez cette ville, et si cette époque vous intéresse.


Un nouveau roman lu pour le challenge thrillers et polars ^-^




lundi 18 février 2013

Une nouvelle semaine...


Et quoi de mieux que de commencer la semaine en parlant de ses lectures ?

Surtout que la semaine dernière, j'ai (enfin) lu un roman qui va rester parmi mes belles découvertes, un roman qui risque fort de se retrouver dans mon top 5 à la fin de l'année.
Cela vaut donc le coup d'en parler un peu avant de publier mon billet de lecture.
D'ailleurs, pour une fois, je n'ai eu aucun mal à le rédiger, je l'ai fait peu de temps après avoir tourné la dernière page, et il est déjà prêt à être publié jeudi prochain.

Ce roman, c'est le premier tome de la série de l'inspecteur Monk écrit par Anne Perry : Un étranger dans le miroir
Je n'ai pas le tome 2 dans ma PAL, et je ne voulais pas me précipiter immédiatement sur la suite, mais je sens que je ne vais pas attendre très longtemps pour vérifier que le tome 2 est à la hauteur du premier.




Evidemment, quand on termine un excellent livre, le moment de le remplacer par un autre survient.
Et ce moment est extrêmement important.
Est-il préférable de lire un roman dont on n'attend pas grand chose pour ne pas en gâcher un autre ?
Ou au contraire, faut-il trouver un livre qui permettra de rester sur une belle lancée ?

J'ai choisi la seconde solution.
J'hésitais, et puis je me suis demandé ce que j'avais vraiment aimé l'an dernier.
Rebecca m'étant revenu à l'esprit, je me suis mise en quête de l'Auberge de la Jamaïque de Daphné du Maurier également.
Je vous en reparlerai quand j'aurai un peu avancé.




Dans mon panier de livres et dans mon cartable, il y a aussi des livres qui trainent et dont la couverture s'est installée dans la colonne de droite de ce blog.
Je poursuis donc ma tentative de terminer tout ce qui est entamé, conformément à mes résolutions de janvier, et je suis en bonne voie pour terminer Les Femelles de Oates (je crois que les nouvelles, ce n'est pas pour moi), je n'avance pas beaucoup dans Zawgyi l'alchimiste de Birmanie (je boude ma liseuse en ce moment pour cause de métro) et j'ai commencé il y a une semaine le Diable dans la ville blanche mais c'est trop technique.




Je m'aperçois que je lis de plus en plus de livres en même temps, 
ce qui ralentit considérablement la lecture. 

ça vous arrive aussi ? 





samedi 16 février 2013

De la place...

Le réassort récent de ma PAL m'a amené à avoir envie de faire un peu de place.

C'est toujours difficile de faire un choix entre ce qu'on a envie de garder et ce qui n'est pas indispensable, mais je trouve que cela fait aussi du bien de se débarrasser de ces livres qui ne seront plus jamais lus dans mes placards.
Je préfère qu'ils vivent et s'en aillent vers d'autres lecteurs.

J'ai donc passé ma matinée à mettre des livres en vente.
Si ça vous tente, voici ma boutique chez Price minister  :




Il y a de tout, n'hésitez pas ^-^

Et bon weekend bien au chaud ! 







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