vendredi 29 avril 2011

Lecteur, que lis-tu ?


Pour faire suite au billet d’avant-hier, je me suis demandé ce que vous préfériez lire sur ce blog ?
Incontestablement, de la BD. Le billet sur Detective Conan a atteint des sommets de consultation, et pour la semaine passée, c’est celui sur Yoko Tsuno qui semble prendre la tête.
Le trio de tête demeure tout de même Détective Conan, puis mes carnets de voyage et Vintage america, pourtant peu commenté.
Parmi mes pages, ma PAL et les livres à échanger sont logiquement les plus consultées.
Toutefois, pour les lecteurs réguliers, Les « pics de fréquentation » sont les billets sur l’Auberge rouge, et Mrs Dalloway, avec une nette avance pour les Aphorismes de Victor Hugo qui tend même à battre Détective Conan.

 Je ne pouvais pas non plus vous épargner les mots clés les plus amusants ou les plus étonnants qui ont amenés les lecteurs par ici.
Il n’y en a pas beaucoup, mais quand j’ai lu « Biafra années 660 », je me suis quand même interrogée.
  • « Bon roman à lire / Balzac quoi lire / Bd a ne pas lire» : je ne sais pas, demande à ton libraire.
  • « Detective conan trop long » : tu parles de la série, ou du manga ? Tout dépend, mais rien ne t’oblige à tout lire.
  • « Qiu xiaolong prénom » : c’est une question que je me pose aussi, surtout pour le challenge ABC
  • « 25 pages à l’heure » : ah ben non, plutôt 50. Mais si le livre est dense, cela peut avoisiner les 25, en effet.
  • « Analyse littéraire princesse de montpensier /Commentaire l’astrée / Virginia Woolf / meurtre de roger ackroyd » : ouh ! les petits étudiants ou lycéens qui essaient de copier sur Internet ! Pas bien beau, tout ça… Essayez au moins de ne pas faire de copier-coller !
  • « Aéroport du bourget neige » : Eh non, je ne suis pas météorologue, je ne sais pas s’il y a de la neige au Bourget.
  • « Blog d’un prêtre avec des bd chaque dimanche» : bah, il n’est pas à la messe, le dimanche ?
  • « Boulboul qui chantait dans le château après midi » : je ne vois pas, ça ne me dit rien.
  • « Inconvénient de la télé / de lire » : à toi de voir, la première présente sans doute plus d’inconvénients, mais certains livres sont si transgressifs ;)
  • « Le meurtre de roger ackroyd fin » : Bah non, tu ne crois quand même pas que je vais te donner la fin ?
  • « Dame de bangkok en 5 lettres » : ça, ça me dit quelque chose, je chercherai. 

Et vous ? 
Quels sont les billets qui vous plaisent le plus ? 


Ce billet est programmé rien que pour vous. Je suis encore en vacances mais je rentre bientôt. N’hésitez pas à me laisser des commentaires, ils me feront très plaisir en rentrant. 

mercredi 27 avril 2011

Lecteur, qui es-tu ?


Afin de savoir qui me lit, j’ai enregistré ce blog chez Google Analytics dès les premiers jours de son existence.
Il faut dire qu’au départ, Blogspot ne semblait pas avoir de suivi des lecteurs et cette inscription était le seul moyen de connaître le trafic de ces quelques pages.
Sans en faire une condition indispensable de ma présence sur ce blog, le nombre de lecteur est quand même une donnée importante pour moi.
Il me permet de savoir si mes billets vous plaisent, si certains ont plus de succès que d’autres ou si quelques uns ne plaisent absolument pas.
Les commentaires que vous laissez sont aussi un moyen de connaître votre ressenti par rapport à ce que j’écris.

Et ensuite, qui êtes-vous ?
D’où me lisez-vous ? Comment êtes-vous arrivés ici ? Venez-vous régulièrement ou passez-vous juste de temps en temps ? Etes-vous blogueur ou blogueuse ? Etes-vous un lecteur compulsif ou au contraire quelqu’un qui aime les livres mais n’a pas le temps d’en lire ?
Bien sûr, Google analytics ne répond pas à toutes ses questions, mais il permet d’avoir quand même quelques informations, surtout si on lui ajoute celles que donne Blogspot depuis quelques mois.

Par exemple, au mois de décembre, mes lecteurs se sont trouvés dans 45 pays différents : la France, la Belgique, les Pays-Bas, le Canada, la Suisse, La Grande Bretagne, les Etats-Unis, la Tunisie, le Maroc, l’Algérie, l’Allemagne, la Russie, la Finlande, l’Espagne, Oman, l’Ialie, la Nouvelle Calédonie, le Japon, le Liban…

D’où venez-vous ensuite ?
Hellocoton semble être une source fiable par laquelle vous arrivez souvent, suivie par Livraddict et google reader. Je constate que livraddict ne doit pas être négligé pour annoncer mes billets.
Beaucoup d’entre vous sont aussi abonné, ce qui est plus simple.


La plupart d’entre vous utilise Firefox, suivi de près par Chrome puis Internet explorer, et quelques uns utilisent Safari ou Opéra.
Il y en a aussi quelques uns qui me lisent sur leur ipod, leur iphone ou sur leur ipad !! Et là je dis, O toi qui a cédé à la tentation, manifeste toi J



Ce billet est programmé rien que pour vous. Je suis en vacances. N’hésitez pas à me laisser des commentaires, ils me feront très plaisir en rentrant.

lundi 25 avril 2011

C'est lundi, que lisez-vous ?



Attention, message de science-fiction !  :)

Si j'ai un accès à Internet, je viendrai compléter ce message prévu à l'avance. 
Mais il y a de fortes chances pour que mon programme soit celui-ci. 

J'ai donc lu Compartiment pour dames



Je suis en train de lire le Lonely Planet Nepal (ça c'est une certitude) et Un visa pour Shanghai





Je vais lire en fin de voyage et dans l'avion Alexandra David-Neel. 


Et vous ? Vous lisez quoi, en ce moment ? 




Tous les participants sont chez Galleane 
qui vient relayer Malou pour lister les liens.


Ce billet est programmé rien que pour vous. Je suis en vacances. N’hésitez pas à me laisser des commentaires, ils me feront très plaisir en rentrant.

vendredi 22 avril 2011

En attendant Robert Capa de Susana Fortes


J’ai repéré ce livre dès sa sortie parmi les publications de la rentrée littéraire de janvier 2011.
La couverture, avec cette superbe photo, m’avait attirée, tout comme le titre, assez énigmatique. Je savais que Robert Capa avait été un des grands reporters photographes du 20e siècle, qu’il avait produit un certain nombre de photos restées dans les annales du genre, et qu’il était réputé pour être un coureur de jupon.
Or, grâce aux Chroniques de la rentrée littéraire, j’ai pu choisir un livre parmi ceux de la rentrée de janvier. J’ai hésité, puis je me suis décidée pour celui-ci.
Et j’ai bien fait.

Gerta, juive polonaise, fuit son pays et le fascisme naissant pour s’installer à Paris avec sa meilleure amie Ruth. Elles vivent de petits boulots, plus ou moins clandestinement, et fréquentent des cercles un peu artistes, un peu bohèmes, composés de réfugiés et politiquement à gauche. 
Au cours d’un de ces petits boulots, Ruth emmène Gerta pour une séance photo. Elles rencontrent alors André Friedmann et David Seymour, tous deux photographes.
La relation qui va se nouer entre Gerta et André est d’abord timide, puis professionnelle avant de devenir exclusive.
André initie Gerta à la photographie, il lui apprend à développer, à cadrer, à régler l’appareil. Elle lui déniche des contrats et des reportages, elle vend ses photos et lui assure du travail en continu.
Puis vient le moment où cela ne suffit plus financièrement et professionnellement. Ils ont alors l’idée de créer Robert Capa, grand journaliste américain peu disponible dont les photos sont vendues plus chers. Le subterfuge ne durera pas longtemps, mais André deviendra Robert jusqu’à la fin de sa vie.
Quand survient la guerre d’Espagne, André et Gerta (devenue Gerda Taro) vont exercer leur métier, quoi qu’il en coûte…

J’ai un faible pour la photographie, vous vous en doutez sans doute si vous fréquentez ce blog le weekend, et les romans qui en parlent me plaisent toujours. Pourtant, je ne suis pas fan des longues descriptions techniques. Il me faut donc un équilibre, et c’est ce que j’ai trouvé ici.

Ce roman est parfaitement équilibré. La guerre d’Espagne est décrite de façon à ce que le lecteur ait les informations nécessaires, sans que cela soit omniprésent. L’histoire d’André et de Gerta est belle, mais ne verse pas dans le sentimentalisme. La photographie est évoquée, sans être omniprésente.
L’auteur procède par épisodes pour nous offrir des instantanés de vie, des prises de vue sur quelques événements marquants de la vie de ces deux êtres et sur l’histoire du photojournalisme, puisque Gerda était la première femme reporter photographe.
De Paris à Madrid ou Valence, la vie de cette femme est remarquable. Elle allait chaque jour faire des photos comme on va au combat, elle prenait tous les risques et accompagnait les soldats au front. Il s’agissait tout autant de témoigner que de faire une belle photo.

L’écriture de Susana Fortes lui rend hommage et invite le lecteur à aller chercher les photos de Gerda Taro. Éclipsée par Robert Capa qui ne l’oubliera jamais, elle se révèle être une grande photographe, peut-être plus sensible aux gens, ce que le roman décrit très bien.
Le cheminement de Gerda, son apprentissage est décrit avec une sensibilité bienvenue dans un cadre historique si difficile.
J’ai également été très touchée de lire que des milliers de négatifs ont été retrouvés il y a quelques années au Mexique, dévoilant des images qui s’étaient perdues, que Robert Capa avait peut-être gardé pour lui, ou confié à quelqu'un, comme celle-ci, une photo de Gerda à Madrid. 
Si vous voulez les voir, ce site est très bien fait (clic).

En bref, si vous êtes amoureux de la photographie, sensible à la vie des photos reportes, si vous souhaitez lire une belle histoire, jetez-vous sur ce livre. 



Je remercie vivement Les Chroniques de la rentrée littéraire et les éditions Héloise d’Ormesson pour m’avoir permis de lire ce livre magnifique. 



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mardi 19 avril 2011

L'audiolivre

Au mois de février, j’ai eu l’occasion de tester l’audiolivre grâce à Audiolib qui a gracieusement proposé à plusieurs blogueurs et blogueuses d’écouter un livre.

L’audiolivre est un support qui m’attire depuis longtemps, car près de chez nous quand j’étais petite, il y avait une association qui cherchait toujours des lecteurs. C’était une association de bénévoles, et les livres étaient vendus une somme modique pour les handicapés et les mal voyants.
Ensuite, je m’y suis intéressée parce que je me demande si un cours de français langue étrangère ne gagnerait pas à utiliser ce genre de support. C’est une question que je n’ai pas encore résolue, mais je pense que la réponse serait plutôt oui.  
Et puis cet été, sur Europe 1 chaque après-midi, des extraits de différents romans étaient lus, ce qui m’a permis de découvrir des auteurs que je ne connaissais pas pendant que je continuais à travailler.

La proposition d’Audiolib arrivait donc à point, et je me suis dit qu’il fallait sauter sur l’occasion de lire enfin un livre complet.

La première étape, c’est le choix du livre.
Quand on écoute un livre pour la première fois, il vaut mieux le choisir court. Ce n’est pas ce que j’ai fait, mais cela ne m’a pas dérangé.
Il faut aussi faire attention à la voix du comédien qui va lire. Sa voix et sa façon de lire sont extrêmement importantes. C’est ce qui va vous permettre de suivre et de comprendre le livre.
Sur le site d’Audiolib, vous pourrez écouter un extrait avec de faire votre choix.

Vient après le temps de la lecture.
Trouver le bon moment, la situation adéquate pour une écoute peut se révéler délicat.
Les trajets en voiture sont intéressants, mais ils demandent tout de même un peu d’attention. Pour le trajet quotidien, c’est bien. Je ne repasse pas, donc je n’ai pas testé. Pendant le ménage, par contre, c’est pas mal aussi.
Si je ne fais rien d’autre, par contre, cela ne me convient pas. Je ne sais pas quoi faire de mes mains et j’ai l’impression de perdre mon temps.

Pour le livre lui-même, j’avais choisi Meurtre dans un Jardin indien de Vikas Swarup.
Le comédien est super, il change sa voix en fonction des personnages et rend sa lecture très vivante.
C’était vraiment une réussite.
Quand le livre a été terminé, les écoutes en voiture m’ont vraiment manqué, et je pense que je ne tarderai pas à aller acheter un nouvel audiolib.
Le catalogue s’étoffe de mois en mois, mais quelques uns me font de l’œil plus que d’autres. J’ai aussi découvert que ma librairie avait un petit rayon audiolivre, ce qui est une bonne nouvelle.

Affaire à suivre, donc, et belle découverte d’une nouvelle façon de lire. 




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lundi 18 avril 2011

Un lundi parmi tant d'autres 11°

Bleu !

C’est le thème du jour et ma couleur préférée, comme celle de beaucoup de Français si l’on en croit les sondages (j’aime bien aussi le prune).

Quand j’ai lu que Chrys et Zaza. nous demandaient de leur montrer du bleu, j’ai tout de suite pensé à la mer. J’ai une relation particulière avec la mer. Je me suis rendue compte que je ne peux pas habiter loin de la mer. J’ai besoin de savoir que je peux m’y rendre quand j’en ai envie, qu’elle est là, à moins d’une heure de voiture et qu’elle est accessible.
J’ai ainsi faillit travailler à Toulouse, et l’idée d’habiter à plus de trois heures de l’eau était insoutenable.
Alors pour ce thème, voilà plusieurs mers, plusieurs bleus…
















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dimanche 17 avril 2011

Un dimanche dans mon carnet de voyage

Je suis en train d’en remplir un tout neuf, que je vous montrerai sans doute en rentrant, mais en ce dimanche, voici un petit carnet tout simple, recouvert d’un beau cuir et prévu pour l’encrage.
Les pages sont donc d’un beau papier épais, un peu beige et ne se gondolent pas trop quand on les peint.

Je l’ai commencé lors de mon premier déplacement pour un colloque à l’étranger. Il s’agissait d’un colloque sur la littérature de voyage, et j’avais joué la carte humoristique en proposant de parler de la littérature qui se lit en voyage, c’est-à-dire les « romans de gare », SHS et autres Harlequins.
Pour aller à ce colloque, je suis passée par Londres, ce qui explique que ces dessins lui soient consacrés. Je n’ai malheureusement pas pu y passer autant de temps que je l’aurais souhaité et il n’est pas à jour, mais cela viendra. 


















Les dimanches en photo sont organisés par Lyiah et sont aussi chez 

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vendredi 15 avril 2011

Sept contes gothiques de Karen Blixen


J’ai découvert Karen Blixen avec la Ferme Africaine, ou plutôt avec Out of Africa, le film de sydney Pollack. C’est l’un des films préférés de ma maman et je l’ai vu un certain nombre de fois.
Sachant que les livres sont souvent plus riches que leurs adaptations, j’ai acheté cette année une édition de poche de ce livre, avec un coffret en fausse peau de zèbre. Mais je ne l’ai pas encore lu.
Pour commencer avec cet auteur, je me suis dit qu’un recueil de textes courts serait une bonne introduction.
Appréciant particulièrement les livres de Walter Scott, il m’a semblé que le gothique était encore plus approprié.

Difficile de résumer ces sept contes.
Ils mêlent des chevaliers, des jeunes filles sacrifiées et des fantômes en tous genres dans un 19e siècle romantique et gothique à la fois, étrange et dépaysant.
Il est question de catastrophes, de ville inondée, de voyages, d’amour, d’enlèvement, de sacrifice…
Les éléments du gothique habituel sont souvent là, mis à part le Moyen Age, bien sûr.
Les décors alternent, les personnages aussi, ce qui donne un rythme endiablé à ces contes gothiques.

J’ai aimé être dépaysée à ce point.
Le fantastique est bien présent dans ce livre qui m’a paru trop court (avec pourtant près de 500 pages). On en redemande et j’ai regretté qu’il n’y ait que sept contes.
Les personnages sont souvent attachants ou, au contraire, antipathiques. Les choses sont tranchées et il n’est pas question de brosser des psychologies complexes. Il s’agit davantage de situations originales, rocambolesques parfois mais captivantes souvent.

L’écriture de Karen Blixen est très agréable, et le texte est bien traduit.
C’est un recueil relativement homogène, où l’on passe d’une histoire à l’autre avec facilité.
Le texte est souvent poétique, enlevé, la plume de Karen Blixen fait mouche sans affectation.
La France, le Danemark ou l’Italie sont évoqués sous la neige, avec parfois un peu de soleil, déplaçant le lecteur avec les personnages. C’est un beau voyage qui est proposé ici, d’une façon originale où l’on sent l’attachement de l’auteur pour ces paysages.
Le gothique n’est pas celui du Moine de Lewis, mais c’est aussi bien de lire des textes moins violents.
J’ai en tout cas beaucoup apprécié cette lecture.

Si vous avez envie de lire des textes assez courts et dépaysants, ou de découvrir Karen Blixen, n’hésitez pas, c’est un petit bijou.


Je remercie Blog-O-book pour ce partenariat et le Livre de poche pour cet envoi qui a fait mouche. 


Je valide aussi un nouveau pays pour le challenge tour du monde en partant au Danemark et un classique pour le mois d'avril. 



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jeudi 14 avril 2011

En direct de Bhaktapur...

Namaste,
ce soir, j'ai de l'électricité et du réseau, ce qui relève de l'exploit ici au Népal.
J'en profite donc pour publier un billet en direct et non programmé et quelques photos.
Si vous voulez quelques vues isolées, publiées en fonction des conditions, c'est sur le blog photo ici.

En quelques mots, le Népal, c'est dépaysant.
J'ai fait pas mal de pays d'Asie du sud est, et c'est un mélange de plein d'endroits, tout en étant absolument unique.
Un peu crado, mais des gens merveilleux, des villes dont on a envie de sortir et des montagnes où on voudrait rester... c'est un petit pays mélangé, où l'on croise des indiens, des sherpas, des chinois et des tibétains.
Après une semaine de ville, on a enfin pu s'aérer un peu dans les champs et ça nous a vraiment fait du bien.
On poursuit dans les temples et les vallées.







Et merci pour vos commentaires que je lis quand je passe dans un coin électrifié, j'essaie de répondre bientôt.
je vous envoie des bises...


lundi 11 avril 2011

Un lundi parmi tant d'autres 10°

En ce lundi, je ne suis pas là, mais j’avais envie de partager avec vous un coin de France découvert l’an dernier pour Chrys et Zaza.

En ce moment, je me balade fort loin en me disant que quand je serai bien vieille (au soir à la chandelle…) et que je ne pourrai plus prendre l’avion, il me restera plein de coins de France à découvrir. 
Ce qui ne m’empêche pas d’en trouver un de temps en temps, ou d’avoir le temps ou l’occasion d’en dénicher un autre, au gré de pérégrinations professionnelles.

C’est ainsi que l’an dernier, j’ai découvert le pays basque et le piment d’Espelette.
En plus, sur la carte météo, il fait tous le temps beau dans ce coin. 















Ce billet est programmé rien que pour vous. Je suis en vacances. N’hésitez pas à me laisser des commentaires, ils me feront très plaisir en rentrant.


dimanche 10 avril 2011

Un dimanche dans mon jardin (bis)

Je n'ai pas eu le temps de les publier lundi dernier pour le lundi parmi tant d'autres de Chrys et Zaza alors pendant que je suis loin, voici quelques photos de mes tulipes en fleurs.

Je ne les ai pas planté. Elles sont apparues il y a deux ans, une seule d'abord, puis deux ou trois l'an dernier et quatre cette année. Parfois, je creuse, et là il y a des bulbes qui ont attendu patiemment qu'un jardinier vienne les raviver. Je les replante alors ailleurs, espérant qu'ils fleuriront. Les tulipes, elles, font leur vie, et c'est aussi bien :)








Chouettes, hein, mes sabots de jardin :)




Les dimanches en photo sont organisés par Lyiah et sont aussi chez 

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